Si l’exil est une démarche active et souvent emplie d’espoir, il est plutôt, dans la réalité, consécutif à un vécu traumatique et synonyme de perte de repères et d’ancrages pour nombre de demandeurs d’asile. Le travail engagé entre Amédé et le psychologue montre combien l‘accompagnement psychologique devrait pouvoir être proposé à tous pour que cette souffrance accueillie laisse place à une subjectivité retrouvée.
Lire et relire cet article publié dans le numéro de mars 2014 : http://www.jdpsychologues.fr/article/la-psychologie-sur-la-voie-de-lexil