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Alors que la société civile se mobilise contre le Front National, les psychanalystes ne sont pas en reste et prennent position dans le débat électoral.

La CGT UFMICT a lancé une pétition pour demander la modification du décret de la loi Durafour sur le statut des psychologues cadres de la fonction publique hospitalière. Elle propose la création d'un troisième grade, comme c'est déjà le cas pour les psychologues de la fonction publique d'Etat.

La psychologie positive, apparue aux USA au début des années 2000 est une discipline nouvelle. Ou se former en France ?

A l’occasion de la journée mondiale de la santé, le 07 Avril 2017, l’Organisation Mondiale pour la Santé a souhaité mettre en lumière sa campagne dédiée à la dépression. Son slogan : dépression, parlons-en.

Yapaka est un dispositif Belge mis au point par le ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2006. Il a pour objectif d’assurer une mission de prévention de la maltraitance et de soutien à la parentalité via la construction de programmes (pas de mission d’accompagnement clinique du public). Loin d’asséner d’illusoires recettes miracles, Yapaka invite chacun (professionnel ou non) à penser, à créer ses propres réponses à travers différents outils diffusés notamment via le très intéressant site internet yapaka.be.

Les réseaux sociaux voient apparaître un certain nombre de défis, souvent mis en scène par l’intermédiaire de photos ou de vidéos. « Ice bucket challenge », « à l’eau ou au restau », « neknomination » en sont quelques exemples. Depuis plusieurs semaines en France un de ces défis inquiète un grand nombre de professionnels exerçant auprès des adolescents : le « Blue Whale challenge ».

Keski a été créé par Benoît Carpier. Ce dispositif s’origine dans son travail d’éducateur spécialisé, puis de consultant/formateur en entreprise, où il a pu prendre la mesure des situations de rejet que peuvent parfois vivre les travailleurs handicapés. Les questionnements suscités par ces expériences ont fait naître son projet : « qu’est-ce qui ? » s’est ainsi mué en « keski ».

A l’heure où les risques psycho-sociaux font débat dans la sphère publique, des psychologues du travail s’interrogent toujours sur « l’obsolescence programmée des mots pour expliquer les maux ». Lors d’une conférence consacrée à la fin du travail à Nantes, le psychologue Yves Clot (1), a redit l’importance de négocier la qualité du travail.