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Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs PERSPECTIVES.
Ce référentiel doit être considéré comme une première base de travail pour expliciter de façon simple cette pratique commune des psychologues intervenant dans le domaine des soins palliatifs
Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs LA PRATIQUE CLINIQUE V.
Le psychologue consacre une part de son activité à intervenir à un niveau institutionnel, en lien avec d’autres professionnels (psychologues du travail, directions, cadres…).
Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs LA PRATIQUE CLINIQUE IV.
Le plus souvent, le psychologue rencontre le patient et/ou ses proches de façon individuelle.
Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs LA PRATIQUE CLINIQUE III.
Les situations ont pour problématique commune de concerner la maladie grave, évolutive ou terminale.
Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs LA PRATIQUE CLINIQUE II.
Les interventions cliniques peuvent s’inspirer des psychothérapies de soutien, des thérapies axées sur la prise de conscience ou sur les récits de vie et du courant psychanalytique.
Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs LA PRATIQUE CLINIQUE I.
L’objectif n’est pas de donner ici une définition exhaustive de la pratique clinique mais de définir ce qui réunit les psychologues dans une identité professionnelle commune.
Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs CADRE GÉNÉRAL IV.
Le code de Déontologie rappelle que le psychologue tient notamment sa compétence « de sa formation à discerner son implication personnelle dans la compréhension d’autrui.
La chute de la maison Underwood
Et si c’était vrai ? Parmi les modes récentes, qui, parfois, témoignent de mouvements plus profonds touchant l’ensemble de la société, celle du biopic ou des films commençant par « à partir de faits réels » est devenue une veine très exploitée, avec un sens de l’efficace relevant de ce que les journalistes américains appellent le « storytelling ». Raconter une histoire, favoriser le fil narratif, voilà ce que nous connaissons dans nos institutions et autres cabinets ; avec certains patients, il est même question, en termes de perspective thérapeutique, de proposer des métaphores quand celles-ci viennent à manquer, quand se dire ne va pas de soi, quand le jeu avec les représentations semble en panne. L’idée de prêter son appareil psychique pourrait bien prendre cette signification : étayer le besoin d’image et de mise en sens resté en souffrance ou enkysté dans des névroses traumatisées.
Place à la fonction contenante quand les mots manquent
Le cancer a un impact sur l’économie psychique du sujet. Dans ce contexte, il arrive que les mots manquent. Comment la fonction contenante d’une position psychique intervient-elle pour redonner au patient une permanence du sentiment d’exister et des capacités de symbolisation ? Quelle est la place du travail d’équipe ? Réponses à travers l’analyse d’une situation clinique relevant de soins palliatifs.
Singularité du soin de patients présentant des traumas relationnels précoces
L’accueil en service de gériatrie génère chez les patients des mouvements psychiques à la fois massifs, extrêmes et contradictoires, allant de l’investissement au désinvestissement. L’abord psychothérapeutique révélant souvent des traumas précoces, il sera alors question de créer des espaces de créativité qui permettent d’élaborer progressivement la rencontre avec l’équipe soignante.