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Séparations conjugales, sans faute et cent reproches
Confronté à la rupture de ses parents, l’enfant se retrouve souvent prisonnier d’un conflit de loyauté déstructurant. Dans le cadre d’expertises psychologiques, ces familles révèlent des dysfonctionnements relativement communs. Mais ces dernières semblent avoir construit, de manière déficitaire ou excessive, des défenses peu adaptées pour lutter contre les angoisses, notamment celles liées à la séparation.
La relation d’emprise
Les mécanismes à l’œuvre dans une relation d’emprise entravent les processus de pensée du sujet qui en est victime. Ils le détournent de sa position critique et le maintiennent à une place d’objet, car le sujet désirant représente une menace psychique pour le Moi défaillant qui doit s’en protéger. Comment s’en extraire et se reconstruire ?
Pourquoi un Haut conseil des psychologues est indispensable
Le Code de déontologie des psychologues n’est pas opposable et n’a pas de valeur juridique.
Pour qu’il le soit, le Syndicat national des psychologues milite pour la mise en place d’une instance représentative qui serait en charge de légaliser la déontologie : un Haut conseil des psychologues.
Par la voix de son secrétaire général, le SNP expose ici ses propositions.
Quelles évolutions pour la déontologie des psychologues en France : propositions du GIRéDéP
Lors de sa création, en 2009, le Groupe interorganisationnel pour la réglementation de la déontologie des psychologues avait pour mission d’œuvrer à la refonte du Code et à sa réglementation hors instance ordinale. Aujourd’hui, si le débat autour de sa légalisation est toujours aussi vif, et qu’un consensus au sein des organisations est encore difficile à trouver, la volonté est là d’y parvenir. La consultation nationale que le GIRéDéP a lancée auprès des psychologues avait pour objectif de permettre à chacun de s’informer et de poser en pleine conscience le pour et le contre de chacune des propositions avancées.
La CNCDP : 20 ans pour la déontologie des psychologues
La Commission nationale de déontologie des psychologues (Cncdp) a été créée en 1997 pour fournir des avis éclairés par le Code sur des problèmes de déontologie rencontrés tant par les professionnels que par les usagers. Si ses avis n’ont pas de caractère juridique en tant que tel, elle est néanmoins aujourd’hui la seule instance à laquelle on peut se référer sur ces questions. Elle expose ici son fonctionnement.
L’unité par la déontologie
Même si les réflexions autour du Code de déontologie ont pris une certaine densité ces dernières années, l’ensemble des psychologues ne se reconnaît pas nécessairement dans celui‑ci. Le Code détermine un certain nombre de règles qui s’apparentent parfois au bon sens. Et les questions soulevées par la pratique du psychologue sont tout aussi essentielles telles que la responsabilité, le discernement, l’adaptabilité aux évolutions de la société. Claire Silvestre‑Toussaint nous livre ici ses réflexions fondées sur son expérience à la présidence de la CNCDP et de chargée de cours à l’université d’Aix‑Marseille.
30 ans après le titre : le code et la profession
1985 a vu promulguer la loi sur le titre de psychologue. Si les débats d’alors sur la réglementation de la profession ont été mis de côté au profit de l’aboutissement d’une loi sur le titre unique, ils rejaillissent aujourd’hui plus que jamais pour permettre au Code de déontologie des psychologues, socle identitaire de la profession, de trouver le cadre juridique qui lui corresponde. Depuis plus de trente ans, Patrick Cohen observe et accompagne toutes les étapes de structuration de la profession, et c’est de sa place de psychologue, mais aussi d’enseignant en déontologie et d’ancien président de la CNCDP qu’il nous éclaire sur la question.
Hommage à Paul Fustier
Hommage à Pierre Ginesy
Nous avons appris avec beaucoup de tristesse la disparition de Pierre Ginesy, le 1er mars 2016. Il était psychiatre, psychanalyste et surtout auteur de nombreux ouvrages, dont nous avions rendu compte dans nos colonnes.
Au chevet de la clinique
Une redoutable question se pose aujourd’hui aux psychologues hospitaliers. Comment, en effet, pourront-ils préserver l’essence de la clinique dans le contexte dramatique que traversent les dispositifs hospitaliers et universitaires tant aux niveaux institutionnel que théorique ?