Articles

Pour effectuer une recherche précise veuillez utiliser le moteur de recherche détaillé.


Les 7 atouts du génogramme, un outil systémique de choix

Auteur(s) : Daure Ivy, Borcsa Maria

Depuis son apparition dans les années 1960, le génogramme s’est imposé comme un outil de référence dans l’appréhension des systèmes familiaux, devenant ainsi un incontournable dans la clinique systémique. Convaincues par sa vitalité et sa malléabilité dans les domaines de la thérapie, de la formation ou encore de la supervision, les auteures nous en font la démonstration en mettant en avant de manière originale les sept points forts – les 7 « A » –qui le caractérisent.


L’enfant à haut potentiel, un enfant augmenté ?

Considérant que les représentations sociétales contemporaines de l’enfance et du développement participent à l’émergence et à la médiatisation du phénomène des « hauts potentiels intellectuels », l’auteure confronte cette problématique à la réalité clinique à travers ses rencontres avec des enfants identifiés HPI et leurs familles. Elle questionne ainsi les situations de surinvestissement des théories sexuelles infantiles, de « parents tardifs et enfant précoce » ou encore la notion d’« enfant augmenté ». Illustration.


La demande d’évaluation du haut potentiel intellectuel ou l’actualisation d’une chimère contemporaine

Auteur(s) : Roman Pascal

Attentes sociétales de performance, idéalisation des compétences de l’enfant, soutien du narcissisme parental… voilà quelques pistes pour mieux comprendre l’engouement des demandes d’évaluation cognitive d’enfants et d’adolescents en vue de déterminer un haut potentiel intellectuel. L’auteur nous invite à penser ce triptyque comme une chimère à dompter, en s’appuyant sur la clinique pour démasquer les souffrances dissimulées derrières ces demandes.


Quelques enjeux autour du « diagnostic » de haut potentiel L’accompagnement de Sophie

Le cas de Sophie, une jeune fille de 19 ans suivie en psychothérapie, montre comment les résultats d’un bilan psychologique, dont le diagnostic de hpi n’est pas avéré, peuvent venir se télescoper avec l’histoire de la patiente. L’émergence d’une problématique narcissique-identitaire en lien avec son désir de connaître son potentiel intellectuel doit être prise en compte par la thérapeute, car cela soulève la question de ce qui peut être projeté dans la demande de diagnostic de hpi et à qui s’adresse le résultat.


Technique et éthique : nécessité d’une approche cognitive et clinique du HPI

S’appuyant sur la méthodologie de passation et d’analyse du WISC-V, l’auteure fait ici le point sur le choix des outils d’évaluation utilisés pour déterminer le haut potentiel intellectuel (HPI) et précise comment celui-ci se détermine à partir du quotient intellectuel total (QIT). Cependant, à travers l’exemple du bilan de Mirabelle, une jeune-fille de 12 ans, elle démontre aussi l’intérêt de proposer des épreuves projectives en complément, afin d’avoir une vision plus globale du fonctionnement psychique de l’enfant « troublé ».


Penser le HPI dans une approche globale de l’examen psychologique

Auteur(s) : Brolles Lisbeth

Que vient signifier sur l’évolution de notre société le questionnement identitaire tapi derrière les demandes de bilans HPI ? Ces demandes doivent-elles être traitées comme n’importe quel symptôme ? Et comment ? Attachée à une approche psychodynamique de l’examen psychologique, l’auteure fait ici la démonstration de la nécessité de cette approche globale et livre les réflexions qui sont menées au sein de l’Association lyonnaise pour une clinique de l’évaluation psychologique.


Le « HPI », mythe populaire et réalité clinique

Depuis quelques années, on assiste à une forte hausse des demandes d’évaluation du haut potentiel intellectuel (HPI), mais quelle réalité clinique se cache derrière ces demandes ? À partir d’une revue de la littérature scientifique, Jean-Pierre Durif-Varembont met en exergue les enjeux sociétaux et cliniques que soulève cette catégorisation. S’il se propose d’analyser ici l’apparition du HPI comme un « genre pertinent », il nous invite également à une réflexion sur les questions éthiques et déontologiques que suscite ce phénomène contemporain pour les psychologues.


Le 3114 : la rencontre au-delà du regard ?

Auteur(s) : Hardy Lise

Parmi les numéros d’écoute et d’aide psychologique, le 3114 se distingue, depuis sa création en octobre 2021, comme le numéro national de prévention du suicide et de la souffrance psychique. Si ces nouveaux dispositifs par téléphone ont trouvé leur place dans les pratiques des psychologues, quid de la rencontre par média interposé ? Que nous apprend l’écoute des sujets suicidaires ? Cet article nous invite à explorer les dimensions et les processus psychologiques à l’œuvre autant du côté du sujet qui appelle que de celui qui écoute.



De la violence conjugale au psychotraumatisme de l’enfant

Auteur(s) : Sajus Nicolas

Dans le cadre des violences intrafamiliales, il est une violence moins visible, plus insidieuse, celle qui expose l’enfant aux maux du couple et qui peut avoir un impact sur sa construction psychique. S’appuyant sur le cas de Lorenzo, Nicolas Sajus pointe ici toute la complexité de ces situations et propose des hypothèses cliniques pour aider les professionnels de la protection de l’enfance à mieux cerner les enjeux psychotraumatiques.


Pages

Partage sur les réseaux sociaux

Abonnez-vous !

pour profiter du Journal des Psychologues où et quand vous voulez : abonnement à la revue + abonnement au site internet

Restez Connecté !

de l'actualité avec le Journal des Psychologues
en vous inscrivant à notre newsletter