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Relation spéculaire entre famille et institution gériatrique

Avec la maladie qui progresse et l’inévitable entrée en institution gériatrique d’un parent dépendant, une relation nouvelle se met en place entre le sujet âgé, sa famille et l’institution. Et cela ne se fait pas toujours sans difficulté, comme en témoigne le cas clinique présenté ici. Un défaut de contenance du groupe familial et le retour de conflits et angoisses archaïques peuvent déborder la famille et déstabiliser le groupe soignant.


Oncopsychologie. Narration et relecture de l’histoire familiale au décours de la maladie

Auteur(s) : Hecquet Maryse

L’arrivée de la maladie est parfois l’occasion, pour le patient, de s’interroger sur sa généalogie. Aussi l’accompagnement psychologique en oncologie va-t-il permettre, à  certains,  d’effleurer  quelques  pistes d’élaboration qui pourront rejaillir plus tard. Pour d’autres, le partage de cette histoire, théâtre d’un questionnement identitaire plus profond, permettra d’engager un réel travail pour se resituer dans leur histoire familiale. Une juste présence à trouver pour le psychologue.


Accompagner les aidants familiaux de malades Alzheimer

Accompagner au quotidien un proche atteint de la maladie d’Alzheimer peut exposer l’aidant à un risque d’épuisement physique et moral. Une prise en charge psychothérapeutique peut parfois s’avérer nécessaire et offrir un soutien indispensable pour surmonter ces épreuves. Quelle est alors la spécificité de cet accompagnement ? C’est ici à une réflexion sur la pratique du clinicien dans ce dispositif d’aide qui nous est proposée.


« Ne lui dites rien… » Les proches face à l’annonce

Depuis la loi du 4 mars 2002, l’information en matière de santé constitue un droit auquel tout patient adulte peut aujourd’hui prétendre, et un devoir pour les équipes médicales. Cependant, de nombreuses familles demandent encore de ne rien dire à leur proche malade sur le diagnostic et, plus encore, sur le pronostic lorsque la maladie est grave et-ou qu’il s’agit de parler de soins palliatifs. Quelle légitimité accorder à la demande de ces familles ? Peut-on considérer cette demande comme une  raison  suffisante  pour  dissimuler  au malade  ce qu’il a ? Que vient exprimer cette demande pour celui qui l’adresse ?


Vers une nouvelle perspective d’organisation : l’expérience de la SIEP au CHRU de Besançon

Auteur(s) : Boissenin Paul

Le Journal des psychologues se fait régulièrement l’écho de tentatives de structuration et d’organisation de la profession afin de faire entendre la voix des psychologues et de peser dans les décisions institutionnelles.
Une nouvelle initiative est présentée ici, celle du collège des psychologues du CHRU de Besançon qui a  mené l’expérience d’une structure interne expérimentale de psychologie (SIEP) rattachée à un pôle clinique.



Réalité virtuelle, illusion réelle

Auteur(s) : Lemoine Claude

Auparavant, il semblait simple de se fier à ses sens. Ce que l’on voyait, entendait, sentait, goûtait, touchait, donnait le sentiment d’une connaissance certaine des réalités proches.


Parler de la violence avant qu’elle ne s’exprime !

Auteur(s) : Comblez Samuel

Alors qu’il y a quelques années nous mettions en lumière dans l’un de nos dossiers (1), ces services d’écoute téléphonique destinés à accueillir la souffrance de ces enfants ou adolescents qui ne trouvaient d’autres lieux pour la déposer, c’est aujourd’hui la fermeture d’une de ces antennes qui nous est annoncée, et, avec cette fermeture, la crainte que cette souffrance ou cette violence non verbalisées ne trouvent d’autre échappatoire que le passage à l’acte.


Richard Hellbrunn : le psychoboxeur quitte le ring

Auteur(s) : Tyrol Jacques

En 1979, Richard Hellbrunn pose les fondements de la psychoboxe, médiation thérapeutique destinée aux auteurs de violences ou à leurs victimes. Portrait de ce psychologue clinicien et psychanalyste qui s’apprête à quitter la présidence de l’Institut de la psychoboxe qui compte aujourd’hui près de cent cinquante praticiens.


Léger comme un avion

Auteur(s) : Houssier Florian

Éthymologiquement, « avoir la main légère » se dit de tout homme qui, dans un art, opère facilement et adroitement. Pour l’écrivain, cela revient à mettre de la liberté et de la rapidité dans son écriture ; pour le filou, ce sera de dérober élégamment, sans autre violence que celle de déposséder, rappelant la délicatesse séductrice d’un Arsène Lupin.


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