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Le brouillon, un espace d’errance dans l’apprentissage
Partant de l’hypothèse que le brouillon n’est pas le simple reflet d’un raisonnement « prêt dans la tête », mais qu’il donne à voir un travail d’élaboration de la pensée, Martine Alcorta nous invite à nous pencher sur ces productions dynamiques qui vont conduire au texte final.
Dynamiques familiales et conduites addictives : l’exemple des toxicomanies
Partant du présupposé que la compréhension des conduites addictives ne peut être que multiple, c’est au modèle systémique d’approche familiale des addictions que l’auteur s’intéresse ici. Myriam Cassen pose notamment la question de la fonction du symptôme dans l’homéostasie familiale.
Études de cas cliniques à partir du WISC-IV : intérêt et limites
Les deux auteurs ont choisi de présenter quatre cas d’enfants et d’adolescents rencontrés lors d’un examen psychologique comprenant la passation du Wisc-iv. En se centrant sur la dimension clinique de la passation, elles proposent une comparaison de leurs résultats avec ceux qu’elles avaient l’habitude d’observer à partir de situations similaires avec le WISC-III.
Des collèges de psychologie clinique
Comme nous l’avons vu récemment 1, le rassemblement de psychologues sous forme de collège permet une meilleure assise de la discipline, mais sa réalisation se révèle parfois ardue et semée d’embûches. Dans un contexte d’« impérialisme médical », aux psychologues de ne pas céder à la passivité pour construire ensemble un projet psychologique digne de ce nom.
Comment réglementer la déontologie des psychologues ?
Lors du dernier Forum des psychologues, organisé par Le Journal des psychologues en 2006, en Avignon, la Fédération française des psychologues et de psychologie (FFPP) a lancé un appel à la collaboration aux autres organisations.
Capacités concrètes, facteurs non intellectifs et observation clinique du WISC-III au WISC-IV
La disparition dans le WISC-IV de deux subtests de l’échelle Performance amène l’auteur à s’interroger sur la place laissée à l’observation clinique dans cette nouvelle version. Il n’écarte pas le risque pour la profession d’être réduite à un rôle psychotechnique.
La clinique du WISC-IV : des chiffres ou des lettres ?
Forte de sa pratique de psychologue auprès d’enfants dyspraxiques et-ou à haut potentiel, Catherine Weismann-Arcache nous éclaire sur les disparités entre le WISC-III et le WISC-IV, ainsi que sur les conséquences que ces modifications induisent sur ce type de population. Elle nous invite à approfondir et compléter cette nouvelle version au moyen d’autres outils, afin de redonner une consistance clinique à ce test qui semble avoir glissé vers des tendances purement diagnostiques.
Un enfant s’est perdu. Lettre au petit Nicolas
Comme au rugby, il arrive que l’on avance en reculant. Cette idée surréaliste de faire des passes vers l’arrière pour aller de l’avant n’est pas sansrappeler celle énoncée par D. W. Winnicott : dans la prise en charge de cas difficiles, il arrive que l’on échoue pour réussir. Mais prenons l’envers de cette situation : en avançant, on recule parfois. Ainsi a-t-on cette sensation avec le devenir du petit Nicolas. Adressons-lui ce mot :
Évolution psychométrique, théorique et clinique
L’objectif de cet article est de présenter l’évolution théorique et psychométrique du WISC-IV relativement à ses prédécesseurs, ainsi que les questions qui émergent de ces changements. Quelques résultats contribueront à mieux comprendre son fonctionnement. Des exemples de mise en perspective des subtests du WISC-IV permettront également de montrer que l’approche clinique est toujours possible, et ce, malgré les changements profonds.