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L’autorité parentale dans le code civil
Depuis 1970, ce sont les deux parents mariés qui exercent conjointement l’autorité parentale sur leur enfant mineur, et c’est la loi du 4 mars 2002, légèrement modifiée par celle du 17 mai 2013, qui en définit les contours. Que dit donc aujourd’hui le code civil sur les droits et devoirs des parents ? sur les modalités de l’exercice de l’autorité parentale en cas de séparation ? sur la délégation de l’autorité parentale ? Rappel de la loi.
L’autorité parentale, entre restrictions, extensions et adaptation
S’il est prévu par la loi que l’autorité parentale soit exercée conjointement par les deux parents, il est des situations familiales où l’un d’eux en a un exercice exclusif ou encore qu’une tierce personne obtienne une délégation partage de l’autorité parentale. Quel est le cadre légal de ces adaptations ?
Droit et autorité parentale en Europe
Un tour d’horizon de la législation sur l’autorité parentale chez nos voisins européens nous permet d’observer que si la terminologie peut parfois différer, si des pays sont bien plus restrictifs que d’autres, si d’autres sont encore loin d’une égalité de traitement pour les couples mariés et ceux qui ne le sont pas… tous se rejoignent sur un point : l’intérêt de l’enfant doit être la priorité des évolutions à venir.
Des lois et des enfants : les risques psychiques pour l’enfant
Les questions relatives à la constitution du lien parent-enfants, à l’élaboration de la filiation psychique, notamment dans les cas de garde partagée, et, plus largement, la notion de parentalité sont au centre de la pratique clinique de Pierre Lévy Soussan au sein de la consultation filiation qu’il dirige à Paris. Si le cadre juridique joue un rôle essentiel dans ces cas de figure, la loi de 2002 sur l’autorité parentale, en introduisant l’égalité de l’autorité parentale entre un père et une mère, peut être contestable dans ses effets selon l’auteur. Discussion autour de ces questions qui suscitent souvent plus de passion que de raison.
La psychologie sociale en deuil… Adieu à Serge Moscovici
Serge Moscovici nous a quittés dans la nuit du 15 au 16 novembre dernier. Il laisse, je pense, à tous ceux qui l’ont connu le souvenir d’un homme affable, généreux, modeste et discret.
Un défi au conservatisme et au dogmatisme dans les sciences humaines
Pour ceux qui l’ont bien connu, pour avoir été ses étudiants, disciples, collègues ou amis, la personnalité de Serge Moscovici condense certains des traits qui correspondent à ce que le psychologue américain Milton Rokeach définit comme une « structure mentale ouverte » : curiosité d’esprit, antidogmatisme, penchant universaliste, tolérance à la critique ou au conflit, passion de convaincre, aptitude à la prise de risque, anticonformisme dans les débats scientifiques…
Du supérieur hiérarchique des psychologues
Il y a déjà plus de vingt ans était posée la question de la hiérarchie des psychologues dans les services de la FPH. Face au vide juridique auxquels les psychologues sont aujourd’hui encore confrontés et à une situation de terrain qui voit grandir le risque d’une soumission à l’autorité d’un cadre paramédical ou d’un médecin, invalidant de fait la position clinique, il devient urgent de combler l’échelon manquant ! Proposition est faite ici du N+1.
Équilibres instables
Plusieurs domaines de pensée se fondent sur la notion d’équilibre. On la trouve bien sûr dans la justice avec l’image de la balance qui pèse le pour et le contre et vise à rendre équitable le jugement ou à ménager les oppositions en trouvant un compromis.
De Stop DSM à Post DSM
Ce samedi 22 novembre 2014, l’amphithéâtre de l’espace conférences des Diaconesses, débordant d’affluence, fut le lieu d’un copieux défilé de prises de parole de psychiatres français qui avaient également invité Allen Frances (États-Unis) et Pat Bracken (Royaume-Uni) à exprimer les raisons qu’il y a à s’insurger contre la pensée unique DSM.
Le psychologue, un clinicien étayé sur un référentiel spécifique
Si la place des psychologues dans les services de soins palliatifs peut sembler une évidence, il n’en demeure pas moins que les contours de cette pratique clinique, entre soutien des patients en fin de vie et de leurs familles et accompagnement des équipes soignantes, sont toujours à préciser. L’auteur témoigne ici de la nécessité de s’étayer sur une formation en psychologie clinique, complétée d’une formation en soins palliatifs, et sur un référentiel conceptuel toujours à construire, afin de pouvoir proposer un cadre que les patients pourront choisir d’investir comme thérapeutique.