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Le jeu et les jeux dans la clinique de l’enfant
Si Donald W. Winnicott et Melanie Klein se sont penchés sur la place « du » jeu dans le développement et la clinique de l’enfant, de nouvelles études envisagent la possibilité de catégoriser « les » jeux selon des critères différents, selon les mécanismes psychiques sous-jacents. Dans cette orientation, quels seront alors la fonction et les apports des jeux dans les cures d’enfants ?
Prévenir la violence et le harcèlement scolaire. Le « Jeu des trois figures »
Jeu de rôle permettant d’occuper successivement la place de victime, d’agresseur ou de redresseur de torts, le « Jeu des trois figures » permet aux enfants de moyenne et grande section de maternelle en mal de « faire semblant » d’acquérir de nouvelles compétences affectives, relationnelles et cognitives, en « imitant pour de faux » dans un cadre dont l’adulte est le garant.
Des figurines aux avatars
Avec les figurines qu’il choisit pour mettre en scène l’univers dont il est habité, l’enfant joue, se joue, en manipulant. Sur l’écran, avec l’avatar qu’il a créé, le joueur « façonne l’image de son corps virtuel dans un univers et un scénario déjà établis ». Et les intérêts thérapeutiques sont innombrables. Étude.
Le bébé et le jeu
Du jeu solitaire au jeu avec un partenaire, le bébé s’approprie son corps comme les objets environnants. Ce faisant, de plus en plus actif, il devient autonome et acteur de la relation. Ces jeux qui participent pleinement au développement psychoaffectif du bébé lui permettront d’accéder au « faire semblant » qui signera sa subjectivité.
Dérives organisationnelles à l’université
Depuis longtemps, l’université a un double statut : d’une part, elle relève de la fonction publique d’État.
Médiation et création. Pour une métapsychologie de la médiation
Si les pratiques cliniques à médiation se sont singulièrement développées, leur théorisation ne s’est pas pour autant précisée. S’appuyant sur les repères freudiens, René Roussillon propose une théorie générale sous forme d’une « métapsychologie de la médiation » : au-delà d’être « une clinique des objets produits », la clinique des médiations nous informe sur les processus psychiques contribuant au travail de symbolisation qui est en jeu.
Douleur, souffrance et médiations corporelles ou artistiques
À Montpellier, l’Unité de psychosomatique et psychopathologie de la douleur est un lieu de soin original où se pratique une approche intégrative dynamique. Quel sens donner à l’expression du symptôme ? Comment soulager la personne ? Quelles sont les techniques utilisables ? À partir d’un arrière-plan théorique psychanalytique, les psychothérapies à médiation se modulent en fonction de leurs indications et de leurs spécificités relatives aux différents médiateurs.
De la place du corps dans les thérapeutiques psychomotrices
Derrière le terme générique de « médiations corporelles thérapeutiques » auxquelles les psychomotriciens se réfèrent, se regroupe un ensemble hétéroclite de pratiques qui divergent sensiblement dans leur conception du corps et de son utilisation dans le champ thérapeutique. Cette pluralité des approches favorise l’investigation des idées et usages touchant au corps, et interroge de manière plus générale la place de celui-ci dans la dimension psychothérapeutique du soin.
Le médiatif comme expérience, le travail du médium comme appropriation subjective
Transformateur de souffrances, soutien du travail psychique et des processus de symbolisation, facilitateur de liens et rencontres, le recours médiatisé à une expérience du corps caractérise bon nombre d’approches thérapeutiques. Mais comment rendre compte des étapes constitutives et de la spécificité des techniques à médiation corporelle ? Quels sont les enjeux et liens entre les expériences du corps et le travail psychique ?
Soigner l’enfant surdoué ?
Se contenter de commenter les performances cognitives des enfants dits « surdoués » ne peut suffire pour les comprendre et proposer des modalités de prise en charge adaptée à leurs souffrances. Au contraire, une approche dynamique du fonctionnement psychique peut prendre tout son sens ici : par un bilan psychologique complet de l’enfant, il devient possible de présumer la fonction du « surinvestissement de la pensée », d’appréhender le sujet dans son ensemble et de remonter à la source du trauma.