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Du supérieur hiérarchique des psychologues
Il y a déjà plus de vingt ans était posée la question de la hiérarchie des psychologues dans les services de la FPH. Face au vide juridique auxquels les psychologues sont aujourd’hui encore confrontés et à une situation de terrain qui voit grandir le risque d’une soumission à l’autorité d’un cadre paramédical ou d’un médecin, invalidant de fait la position clinique, il devient urgent de combler l’échelon manquant ! Proposition est faite ici du N+1.
Équilibres instables
Plusieurs domaines de pensée se fondent sur la notion d’équilibre. On la trouve bien sûr dans la justice avec l’image de la balance qui pèse le pour et le contre et vise à rendre équitable le jugement ou à ménager les oppositions en trouvant un compromis.
De Stop DSM à Post DSM
Ce samedi 22 novembre 2014, l’amphithéâtre de l’espace conférences des Diaconesses, débordant d’affluence, fut le lieu d’un copieux défilé de prises de parole de psychiatres français qui avaient également invité Allen Frances (États-Unis) et Pat Bracken (Royaume-Uni) à exprimer les raisons qu’il y a à s’insurger contre la pensée unique DSM.
Le psychologue, un clinicien étayé sur un référentiel spécifique
Si la place des psychologues dans les services de soins palliatifs peut sembler une évidence, il n’en demeure pas moins que les contours de cette pratique clinique, entre soutien des patients en fin de vie et de leurs familles et accompagnement des équipes soignantes, sont toujours à préciser. L’auteur témoigne ici de la nécessité de s’étayer sur une formation en psychologie clinique, complétée d’une formation en soins palliatifs, et sur un référentiel conceptuel toujours à construire, afin de pouvoir proposer un cadre que les patients pourront choisir d’investir comme thérapeutique.
Clinique en soins palliatifs pédiatriques
Lorsque l’enfant en bas âge est confronté à l’effraction de la maladie et à l’irruption de la mort dans sa vie, comment lui permettre de s’adapter à cette réalité et de devenir autonome malgré tout ? Comment soutenir les liens familiaux qui peuvent être amenés à évoluer au fil du temps ? Comment aider à cheminer sur ce parcours jalonné de pulsions de vie et de pulsions de mort ? Le suivi d’Anna et de sa famille sur quelques années nous plonge au cœur de cette clinique spécifique.
Enjeux cliniques et déontologiques du psychologue en soins palliatifs
Dans les services de soins palliatifs, la demande d’entretien prend parfois des tournures inattendues. Un dispositif de soin spécifique doit être pensé, qui ne soit pas intrusif, pour permettre au patient d’investir, dans la temporalité qui est la sienne, une rencontre où il pourra mettre au travail son vécu de la maladie.
Place des psychologues à l’aube de la médecine palliative
À l’heure d’un basculement épistémologique de l’ancien modèle de l’accompagnement et des soins palliatifs vers un modèle de « médecine palliative », les psychologues ont plus que jamais une place à occuper dans ces services, pour se faire les garants d’une éthique humaniste.
Psychologue, universitaire et chercheur ?
En parallèle de notre progression sur le terrain, il semble qu’un fossé se creuse avec les universités de psychologie concernant la formation des étudiants et futurs psychologues à la pratique en soins palliatifs. Les modules de formation intègrent parfois quelques heures dédiées aux soins palliatifs, mais cela reste très modeste et aléatoire d’une université à l’autre.
Un référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs
Deux des psychologues qui ont participé à l’écriture du Référentiel des pratiques des psychologues en soins palliatifs reviennent ici sur les observations de terrain et les motivations qui ont conduit à l’élaboration collective d’un tel document. Son objectif : être un outil au service des psychologues afin de les accompagner dans le choix et la défense de leur pratique, de leur place et de leur spécificité, tant pour eux-mêmes qu’auprès des patients et des équipes pluridisciplinaires. Un résumé de ce référentiel vient illustrer le propos.
La mémoire entre neurosciences et psychanalyse
Dans son exploration de la mémoire, Claudia Infurchia propose une approche complémentariste, fondée sur une articulation d’éléments conceptuels en provenance des neurosciences et de la psychanalyse. Cette démarche révèle l’importance du lien entre l’évolution cérébrale et l’environnement du sujet.