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Du côté des rescapés d’actes terroristes, la violence extrême ébranle littéralement le socle identitaire. En miroir, s’incarnant dans la figure du terroriste, celle du mal absolu, elle éveille, chez la victime, une agressivité désespérée et virulente. Le travail psychique à mener auprès de la victime consiste à déconstruire cette violence extrême afin de demeurer inscrite dans l’humanité.
En septembre 2016, nombre de figurants ont répondu présents pour participer à un exercice de simulation d’un attentat dans le quartier de la Défense (92), afin de permettre aux différentes équipes d’intervention de pouvoir tester et ajuster leurs pratiques. Au cours de cet exercice, certains d’entre eux ont présenté un état de stress aigu. Les professionnels de la CUMP 92, qui participaient à cette simulation, reviennent ici sur les enjeux de cette mise en situation, entre jeu et réalité, tant pour les figurants que pour les intervenants.
Comme tous
les ans au mois
de mai a lieu, à
Moscou, le grand
congrès d’EMERCOM. Créé
en 1996, ce ministère
russe des situations
d’urgence regroupe des
secouristes, des pompiers,
des intervenants de
la sécurité civile et a, par
ailleurs, une fonction transversale, tant avec le ministère
de la Défense qu’avec le ministère de l’Intérieur russes.
EMERCOM est activé ou sollicité aussi bien pour mettre
en place des actions de secours sur le territoire russe
que pour intervenir sur des théâtres extérieurs.
Les fonctions du psychologue militaire dans le Service de santé des armées évoluent : outre l’examen psychologique des candidats à l’engagement et des militaires à des fins de diagnostic psychopathologique, des missions nouvelles lui incombent. Il met son expertise et sa connaissance de l’armée au service de la prévention et du dépistage précoce des troubles liés au syndrome de stress post-traumatique en mission extérieure. Le positionnement du psychologue clinicien, son autonomie technique et l’absence de pouvoir décisionnel contribuent à l’impartialité et à la reconnaissance de son avis.