En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et des offres adaptés à vos centres d'intérêts.
La tendance actuelle ne serait-elle pas à la pathologisation du normal ? Quels sont les risques du surdiagnostic, notamment chez les enfants et les adolescents ? Quid de la fonction du symptôme ? Prenant l’exemple de la radicalité des symptômes chez les adolescents, les auteurs soulignent le nécessaire éclairage d’un diagnostic différentiel et fonctionnel afin que ce dernier ne vienne pas totalement recouvrir et masquer les processus identitaires et d’identification en construction.
Des patients cérébro-lésés peuvent être amenés, dans le cadre de leur suivi psychothérapeutique, à être accompagnés de leurs proches.
Et, pour eux aussi, reconnaître la réalité de leur vécu constitue les prémices d’une élaboration qui leur permettra d’atténuer quelque peu leur souffrance psychique.