En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et des offres adaptés à vos centres d'intérêts.
Si l’activité professionnelle exercée à distance se déploie de façon plus ou moins formalisée, occasionnelle ou permanente, le télétravail peut échapper en partie aux règles d’usage instituées par l’entreprise qui doit, pourtant, tenir compte de nouvelles conditions de travail. Cette modalité à laquelle adhèrent de plus en plus de salariés implique par conséquent un accompagnement soutenu par les psychologues afin que managers et salariés s’en approprient toutes les spécificités.
Quel est l’impact des troubles du spectre autistique sur la boucle interactionnelle parents-enfants et la qualité de vie de la famille ? Quel accompagnement proposer aux parents afin qu’ils appréhendent au mieux le quotidien avec leur enfant ? Une revue non exhaustive des différents types de soutien qui peuvent être proposés aux parents est ici proposée, ainsi qu’une réflexion sur la manière dont les psychologues peuvent accorder l’accompagnement du vécu psychique des parents avec le soutien à l’ajustement parental.
Dans le contexte actuel où la prise en charge de chaque trouble est sectorisée, les équipes pluridisciplinaires qui œuvrent auprès des personnes présentant un handicap moteur, sensoriel, psychique et-ou cognitif, se retrouvent très fréquemment confrontées à des problématiques d’accompagnement complexes. Le travail du psychologue peut permettre d’apporter un éclairage sur cette question de l’entre-deux du handicap qui mène bien souvent à un entre-deux identitaire.
Ce témoignage d’une expérience atypique auprès d’une enfant porteuse d’un handicap moteur dans le cadre d’une maladie évolutive avec perte de langage vient mettre en relief les dispositifs qui doivent être pensés en équipe pluridisciplinaire pour accompagner l’enfant au fil des années et permettre notamment la mise en place d’une communication par guidance à l’écriture. Un récit à double voix de la psychologue et de l’ergothérapeute qui ont accompagné Surya.
Accompagner au quotidien un proche atteint de la maladie d’Alzheimer peut exposer l’aidant à un risque d’épuisement physique et moral. Une prise en charge psychothérapeutique peut parfois s’avérer nécessaire et offrir un soutien indispensable pour surmonter ces épreuves. Quelle est alors la spécificité de cet accompagnement ? C’est ici à une réflexion sur la pratique du clinicien dans ce dispositif d’aide qui nous est proposée.
Si le travail de deuil est toujours un cheminement douloureux à accomplir, comment peut-il s’opérer quand les ressources psychiques sont altérées par le grand âge ? Quelles répercussions cognitives peuvent en découler, et notamment quand c’est un membre de la filiation qui disparaît ? Quelles attentes sous-tendent l’alliance thérapeutique ? L’histoire de Madame F nous ouvre quelques pistes pour penser cet accompagnement et la place que peut y occuper le psychologue.
La vie amoureuse des personnes handicapées mentales en institution soulève la question du respect de la liberté individuelle, mais aussi celle du devoir de protection. Peut-on aborder ce sujet avec elles sans être intrusif, incitatif ou dans le contrôle, sans perdre de vue que « c’est à la personne d’y répondre pour soi-même, dans le cadre de sa responsabilité avec les autres (1) » ? S’appuyer sur un outil composé d’images et de questions peut être une piste.
Désormais, on ne parle plus que de la personne en « situation de handicap » : une terminologie qui nous a délivrés avec bonheur du signifiant « handicapé », stigmate qui réduisait chacun à une situation invalidante particulière.
La complexité des procédures d’adoption internationale allonge des délais déjà éprouvants et plonge les parents, souvent malmenés par des parcours d’infertilité douloureux, dans un projet au long terme, où l’« attente » devient le maître mot. Quelles conséquences sur leur « devenir parent » ? Les accompagner durant cette quête, percevoir les changements psychiques ou sociaux à l’œuvre, peut alors les aider à « maintenir vivant » leur projet d’adoption.
L’obligation d’éducation thérapeutique suscite des questions relatives à sa gestion et à sa mise en place ; elle interroge autant la définition du soin que celle des pratiques de soin et la relation médecin-malade. La pratique de la diabétologie, en fournissant des exemples relatifs à la façon dont chaque patient investit sa maladie chronique, met à mal l’idée qu’il existerait un mode opératoire unique de prise en charge pour une pathologie donnée, et donc une éducation thérapeutique qui pourrait s’appliquer de façon mécanique.