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Omniprésentes dans les activités professionnelles, les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont en progression constante et leurs usages se développent. Comprendre ces usages devient un enjeu primordial pour analyser leur impact tant du point de vue du fonctionnement psychique des travailleurs que de celui de la perception de la pression temporelle en environnement professionnel.
Qu’elle soit numérique, organisationnelle, toute transformation influe sur le vécu du salarié et sur le collectif de travail. Les auteures nous font part de leur expérience dans leur mise en pratique de deux méthodes d’accompagnement : la démarche de l’exploration appréciative et celle suivant le modèle de Bareil, toutes deux impliquant chaque acteur du changement.
Le développement des technologies émergentes de plus en plus manifeste dans les environnements professionnels conduit à s’interroger sur la place et la fonction que ces technologies occupent au sein des organisations de travail. La réflexion des auteurs évoque également le rôle que doit jouer la psychologie du travail et des organisations (PTO) dans ces transitions sociotechniques majeures.
Au cours des trois dernières décennies, l’émergence et le développement des technologies digitales a largement contribué aux changements qui touchent le monde du travail et les organisations de travail.
Souvent fragilisés par des représentations négatives, une forme de discrimination ou d’isolement, les seniors en recherche d’emploi se trouvent projetés dans un contexte qui questionne leur identité sociale et professionnelle. Ils s’inscrivent également dans une temporalité particulière, marquée par l’échéance plus ou moins proche d’une autre identité : celle de retraité. Aussi, proposer un accompagnement collectif et global permettant de restaurer une identité professionnelle, une reprise de confiance en soi et en ses ressources pour retrouver une dynamique de retour vers l’emploi, tel est l’enjeu du dispositif présenté ici.
En contexte de migration, le travail peut avoir une fonction qui dépasse le simple fait de recevoir un salaire pour vivre et ressentir une sécurité financière. Il devient un enjeu de réussite, de reconnaissance, d’existence ; il renvoie à la dignité, à la légitimité et à la place que le sujet occupe désormais dans la société d’accueil. Les histoires d’Abdel et de Marlène viennent en témoigner.
C’est un fait. Le travail reste dans nos sociétés une préoccupation majeure et centrale. Mais il est vu différemment selon les gens. On peut, comme pour d’autres études en psychologie, proposer des catégories selon les individus en créant des types dominants. Le principe de la marguerite, suivant les questionnaires à choix multiples, permet de repérer les tendances et de réaliser une typologie qui pourra toujours être validée ensuite. Essayons de balayer le champ.