En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et des offres adaptés à vos centres d'intérêts.
Les relations intergénérationnelles ont souvent été au cœur de mesures politiques pour favoriser la cohésion sociale. Mais en quoi consistent ces liens et quelles finalités y aurait-il à les favoriser ? Dans quelle mesure deux générations peuvent‑elles s’appréhender, se côtoyer, s’enrichir, sans que soient entravés les désirs des uns et les valeurs des autres ? Quelques éléments de réponse sont ici rapportés à la lumière d’une expérience dans l’animation d’un atelier au sein d’un EHPAD.
Depuis une dizaine d’années, un atelier de peinture et de modelage est proposé aux adolescents placés dans une maison d’enfants à caractère social (mecs). L’auteure expose ici les hypothèses de travail qui ont mené les animateurs de l’atelier à adapter son cadre et à affiner ses objectifs, en fonction des adolescents accueillis et de l’institution qui l’abrite. Elle analyse également la valeur symbolique de l’objet créé pour les participants.
Hors du champ de la psychiatrie,
des structures associatives proposent un
accompagnement thérapeutique alternatif
aux personnes souffrant de troubles
psychiques, afin de favoriser la création de
liens sociaux. Aperçu de ce type de prise
en charge alliant un cadre dénué d’enjeux
médicaux et la pratique des arts plastiques.
Le SESSAD est un lieu au sein duquel il peut être nécessaire, pour aborder certaines situations, de repenser sa pratique, un lieu où des techniques telles que l’art‑thérapie peuvent, dans ce cadre, trouver place, lorsqu’il faut aider des enfants ou des adolescents à « transformer leur passivité en activité », retrouver confiance en eux et en leurs pairs. Comment le professionnel peut-il alors accompagner cette dynamique de « remise en je » ?