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Au-delà de la seule prise en charge d’un enfant, les professionnels intervenant en centre d’action médicosociale précoce élaborent, par la force des choses, leur propre « système ». Lequel se retrouve confronté à celui des familles qui fréquentent ce type d’institution. Réflexion et hypothétisation permettent de lever d’éventuels antagonismes et d’offrir de nouvelles voies de soins.
À travers le cas de Solal, deux professionnelles, une psychologue et une éducatrice, rendent compte ici d’une pratique conjointe menée dans un Centre d’action médico‑sociale précoce spécialisé (CAMSPS). Elles assistent ensemble à l’accès d’un sujet autiste au lien social.
Psychologue clinicienne au sein d’un service de l’Aide sociale à l’enfance et à la famille, Élise Feral assure le suivi psychologique d’enfants placés en familles d’accueil.
La situation particulière de Louis, confié à une assistante familiale, est le point de départ d’une réflexion plus générale sur les effets des liens interinstitutionnels, ou leur absence, quand le suivi psychologique des enfants est à l’œuvre.