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La rencontre de l’autre dans un contexte de double étrangeté, celle de la maladie mentale et la celle de la différence culturelle, interpelle chacun au plus profond de son humanité. Rester professionnel dans ces conditions implique le besoin d’un « nous » et d’un cadre, pour éviter la confusion des langues, du même et de l’autre par l’effondrement des frontières géographiques. Voici un témoignage singulier des limites de l’altérité et de la nécessaire analyse du contre-transfert culturel pour pallier l’arbitraire des frontières psychiques.