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Depuis la pandémie de Covid-19, l’envie de se retrouver, de créer ou recréer du collectif, que ce soit aux niveaux personnel et professionnel, est apparue très forte. Pour autant, peut-on dire que le collectif s’est exclusivement perdu en raison de la pandémie ou s’était-il déjà peu à peu délité ? Aujourd’hui, comment réhabiliter et renforcer le collectif de travail dans une société occidentale mue par des modes d’organisation basés sur une survalorisation de l’autonomie et la multiplication des process ? L’auteure nous propose quelques pistes de réflexion.
Depuis l’introduction du concept de care en 1967, et pour répondre à l’évolution sociétale sur les questions liées à la fin de vie, le législateur n’a eu de cesse de réécrire les textes de loi transformant peu à peu la philosophie des soins en phase terminale au profit d’une médecine palliative. Serait-ce là le signe d’une société qui souhaiterait s’affranchir de l’angoisse liée à la mort ? Les auteures interrogent ici l’influence exercée par ce cadre législatif sur les positions subjectives de chacun et ce que peut apporter la psychanalyse pour penser notre rapport au réel, à la maladie et à la finitude.
Être soignant en service de cardio-pédiatrie, c’est parfois plus qu’un métier, c’est aussi un engagement, une identité relationnelle, voire une famille. Aussi, dans une équipe hospitalière où l’enjeu est de soigner des enfants atteints d’une maladie du cœur, le sens du travail s’étend au-delà de la tâche à accomplir, pour se nicher aussi dans les relations humaines, avec les patients, mais aussi et surtout avec les collègues. Témoignages.