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Si la violence est présentée habituellement comme un concept négatif, une énergie à réprimer, René Monami, en s’appuyant sur Jean Bergeret et de nombreux auteurs qui s’y sont intéressés, revient ici sur sa dimension fondamentale et présente les conditions plurifactorielles de sa vectorisation. Il démontre ainsi que la manifestation de cette source d’énergie peut s’orienter aussi bien vers le pire que le meilleur.
Déjà le mot est à regarder de plus près : reprise. Quelle équivocité ! De la musique à la boxe, en passant par des figures d’équitation ou encore le rythme de l’économie…