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Cela a été dit dès le début, trop c’est trop. L’augmentation des carburants, et pas seulement du gazole, a fait déborder le vase ou plutôt le réservoir, déjà trop plein. Les taxes précédentes, non digérées, comme la csg augmentée sur les retraites, et aussi celles annoncées, sont ressorties à juste titre. Et les informations sur les multinationales qui ne paient pas ou presque pas d’impôts ont augmenté encore un sentiment d’injustice. Cela associé à un style autoritaire, à une communication condescendante, voire méprisante, et à un acharnement sur la voiture en limitant abusivement la vitesse, on a obtenu un mélange détonnant, qui s’est appelé « gilets jaunes ». Voilà pour le point de départ qui a profité d’une diffusion ultrarapide et inédite par les réseaux sociaux.