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L’hypermodernité, sous l’égide du modèle néolibéral, tendrait-elle à abaisser l’habitabilité des milieux, qu’ils soient naturels, sociaux ou institutionnels ? Favoriserait-elle une précarité destructive par l’épuisement des ressources relationnelles et naturelles ? Cet article met en évidence qu’une partie des observables cliniques actuels de la problématique écologique peuvent s’appréhender en termes de résonance entre cette précarité destructive contextuelle et notre précarité néoténique structurelle, ainsi qu’en termes de pathologie du lien entre l’Homme et « ses » environnements. Démonstration.
Si les troubles cognitifs peuvent altérer la relation au patient, Hélène Oppenheim-Gluckman nous invite à réfléchir sur le type de cadre et de pratique psychothérapique à mettre en place avec ces patients cérébro-lésés, et plus particulièrement sur la place de la cognition dans notre économie psychique.
La clinique des patients cérébro-lésés montre que les troubles cognitifs atteignent le sujet dans sa sensation d’identité et d’existence. En se situant dans le champ de la causalité psychique inconsciente, à quel type d’expérience subjective les patients sont-ils confrontés lorsque surgit une atteinte des catégories de la pensée dont la cause est organique ?
Entre médecine et psychologie, la prise en charge de la douleur n’est pas simple. Là où les médecins œuvrent avec le signal somatique de la douleur, le psychologue s’appuie sur la plainte du patient qui traduit sa dimension psychique. Lorsque la douleur ne cède pas aux thérapeutiques médicamenteuses et que cette souffrance persiste, élaborer la plainte, amener le patient à se représenter sa douleur peut permettre d’initier un travail thérapeutique alors nécessaire.