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Structurée au niveau international depuis de nombreuses années, c’est véritablement depuis les années 2000 que la gestalt-thérapie s’est investie dans la recherche. C’est à travers la présentation d’une étude comparative sur le trauma, d’un projet international portant sur des cas singuliers pour étudier les processus de changement et l’efficacité des traitements thérapeutiques ou encore d’un outil de mesure de la dépression chez l’enfant que les auteurs témoignent des apports et de l’intérêt de la perspective gestaltiste pour la recherche en psychothérapie.
À l’heure où le champ de la santé mentale est confronté à une crise majeure, les remèdes peuvent prendre la forme drastique d’une optimisation des pratiques, fondant notamment les espoirs sur l’innovation technologique et une meilleure utilisation des compétences du psychologue. Afin de réinterroger les implications d’une telle trajectoire donnée à la santé mentale et ses conséquences sur la pratique, l’auteur convoque ici le luddisme, un phénomène historique mettant en jeu le rapport des humains à la technologie.
Dans notre contexte sociétal qui promeut d’une manière, semble-t-il, illimitée la notion et le prisme, comment peut-on encore faire consister une dimension clinique dans l’éducation, le soin, l’accompagnement d’enfants et d’adolescents présentés – quand ils ne sont pas représentés – dans le social par le signifiant « handicap » ?