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La mobilité des personnes vulnérables est un enjeu de santé publique. Mieux comprendre les comportements réels de ces usagers, leurs attentes, leurs stratégies, permettrait de modifier et d’adapter leurs environnements ou encore de concevoir des dispositifs de remédiation et de (ré)apprentissage. Des programmes de recherche associant environnements réels et virtuels œuvrent en ce sens. Présentation.
Pour répondre aux enjeux que soulève la crise écologique, chacun doit trouver les ressources et la créativité nécessaires pour y faire face. L’auteure propose ici un dispositif singulier à partir d’outils issus de l’art-thérapie et de l’environnement « bâti ». À travers la création de refuges extérieurs (nids, tipis, tentes…), il s’agirait d’accompagner un travail de façonnage du monde par l’imagination afin de le rendre plus sécure et de développer une perception de soi en position active dans son environnement. Illustration.
Face aux effets du changement climatique, une mobilisation collective est essentielle pour une transition environnementale adaptée. Cependant, même si l’environnement est un thème de plus en plus médiatisé et une priorité affichée par les politiques, les efforts individuels ne semblent pas toujours suffisants. L’auteure se penche ici sur les notions de distance psychologique, de stratégies de faire face ou encore d’attachement au territoire pour tenter de comprendre les mécanismes psychologiques en jeu face à cette crise.
L’hypermodernité, sous l’égide du modèle néolibéral, tendrait-elle à abaisser l’habitabilité des milieux, qu’ils soient naturels, sociaux ou institutionnels ? Favoriserait-elle une précarité destructive par l’épuisement des ressources relationnelles et naturelles ? Cet article met en évidence qu’une partie des observables cliniques actuels de la problématique écologique peuvent s’appréhender en termes de résonance entre cette précarité destructive contextuelle et notre précarité néoténique structurelle, ainsi qu’en termes de pathologie du lien entre l’Homme et « ses » environnements. Démonstration.
Nous commençons à avoir une représentation globale de la situation de l’anthropocène. La mise en dialogue des savoirs des sciences de la matière, du vivant et de l’humain, nous donne à voir un monde nouveau en cours d’émergence, induit par la diminution relative des ressources et la croissance des demandes. Cette situation ouvre sur des incertitudes, voire des inconnues, qui sont autant d’occasions d’inventivités collectives techniques, sociales et psychologiques.
Qu’est-ce que la crise écologique révèle de la psychologie humaine ? Quelle place complémentaire les psychologues pourraient-ils avoir à côté d’autres spécialistes ? Qu’entend-on derrière le terme « éco-anxiété » dont se sont emparés les discours médiatiques ? Pour répondre à ces questions, l’auteur dresse ici un état des lieux du problème écologique et de ses implications sur le plan psychologique à travers trois dimensions : les effets de cette crise sur la psyché, les effets destructeurs des conduites humaines, mais aussi l’écologie des liens et la pathologie du lien homme-environnement.
Si l’on regarde dans le temps et dans l’espace, les murs sont partout, de la grande muraille de Chine au mur d’Hadrien. C’est toujours pour repousser une invasion ou empêcher de passer. Plus près de nous au Moyen Âge, les châteaux forts jouaient ce rôle. Les portes et les ponts étaient fermés la nuit et, à l’entrée des villes et des ports, les péages n’ont pas attendu les autoroutes pour exister.