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Depuis fin 2016, les psychologues exerçant à Pôle emploi ont été répartis par transfert individuel au sein de chaque agence. Dès juillet 2016 (1), Patrick Cohen nous annonçait les fondements de cette nouvelle organisation et pointait les prérequis indispensables pour sa mise en œuvre. C’est aujourd’hui un premier bilan qu’il nous propose, qui ne se veut ni exhaustif ni quantitatif, mais qui témoigne des premières remontées de terrain qui ouvrent à quelques réflexions.
Depuis quelque temps, bruissent de possibles évolutions de la formation des psychologues, le modèle actuel licence-master étant jugé insuffisant par nombre d’organisations. Si le ministère de la Santé prépare une proposition pour former des psychologues spécialement dédiés à intervenir dans le champ sanitaire, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, quant à lui, soumet à la réflexion des propositions autour d’une sixième année validée par un diplôme d’État. L’alternative du doctorat professionnalisant, depuis longtemps discuté, semble aujourd’hui encore d’actualité. Présentation des points forts et faibles de ces différentes options.
Les écrits des psychologues rédigés dans le cadre de leur exercice professionnel visent à rendre compte de leurs interventions et à soutenir leurs spécificités. Ils deviennent aussi, selon l’auteure, de véritables outils professionnels de développement, correspondant alors à une forme sublimée de l’intervention psychologique.
Si la politique actuelle dans le secteur de la petite enfance vise l’uniformisation des lieux de garde et le rendement, comment les professionnel(le)s du secteur peuvent‑ils(elles) s’adapter aux répercussions de ces logiques gestionnaires ? Comment l’humain et le relationnel peuvent-ils continuer de trouver leur place ? et la qualité d’accueil, l’éveil et le soin du tout-petit rester au cœur des pratiques ? C’est fort de son expérience que Frédéric Groux dresse le constat des changements qui ont affecté ces institutions et impacté le travail de leurs professionnel(le)s.
Au-delà des différences de statut, de fonction et d’approche, diverses formes de coopération sont possibles entre psychologues et éducateurs, afin de faire face aux difficultés des enfants et adolescents reçus par l’institution.
Maurice Villard témoigne ici de celles qu’il a pu observer et mettre en place au cours de sa pratique.
La Fédération française des psychologues et de psychologie (FFPP) est pleinement actrice de la démarche du GIRéDéP. Sur le plan politique, elle a été l’un des artisans essentiels de chacune des étapes de son travail : définition des objectifs politiques, contribution aux groupes de travail (actualisation du Code 2012, élaboration des hypothèses en vue de la réglementation, animation des débats nationaux).
Le Code de déontologie des psychologues n’est pas opposable et n’a pas de valeur juridique.
Pour qu’il le soit, le Syndicat national des psychologues milite pour la mise en place d’une instance représentative qui serait en charge de légaliser la déontologie : un Haut conseil des psychologues.
Par la voix de son secrétaire général, le SNP expose ici ses propositions.
Lors de sa création, en 2009, le Groupe interorganisationnel pour la réglementation de la déontologie des psychologues avait pour mission d’œuvrer à la refonte du Code et à sa réglementation hors instance ordinale. Aujourd’hui, si le débat autour de sa légalisation est toujours aussi vif, et qu’un consensus au sein des organisations est encore difficile à trouver, la volonté est là d’y parvenir. La consultation nationale que le GIRéDéP a lancée auprès des psychologues avait pour objectif de permettre à chacun de s’informer et de poser en pleine conscience le pour et le contre de chacune des propositions avancées.
La Commission nationale de déontologie des psychologues (Cncdp) a été créée en 1997 pour fournir des avis éclairés par le Code sur des problèmes de déontologie rencontrés tant par les professionnels que par les usagers. Si ses avis n’ont pas de caractère juridique en tant que tel, elle est néanmoins aujourd’hui la seule instance à laquelle on peut se référer sur ces questions. Elle expose ici son fonctionnement.