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En quoi la notion de mystique comme position d’excès viendrait, sous son acception de l’ex-stase, éclairer celle de jouissance ? Ou comment l’amour mystique, induisant une perte des limites du moi, une exaltation narcissique, situerait le sujet au-delà du symbolique, dans une jouissance extrême, autre que phallique, qui permet alors d’en saisir toute la quintessence ? Explications.
Pourquoi, dans ce projet de dossier, avoir associé jouissance et sociabilité ? Il faut considérer que dans une société qualifiée d’« hypermoderne », marquée essentiellement par l’individualisme, l’hypernarcissisme, l’hédonisme, le consumérisme..., mais aussi par des tendances au sacrifice du bien-être pour l’atteinte de performances socialement reconnues…, la quête de jouissance apparaît comme un besoin, une aspiration inextinguible.