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La virilité a été et est encore, dans un grand nombre de sociétés, un élément central de pouvoir ou de domination dans un modèle familial patriarcal, auquel correspond un système étatique tout aussi autoritaire, voire fascisant. De nombreux travaux concernant l’apprentissage de la virilité sont appelés à illustrer, dans ces cas, le rôle déterminant de la famille et des mouvements de jeunesse, des « fraternités », qui exaltent un désir de fusion s’appuyant sur des idéaux virils.
Depuis l’Antiquité jusqu’à aujourd’hui, la virilité n’a jamais cessé d’être explorée par la philosophie et les sciences humaines et sociales*. D’abord associée aux notions de force, de domination, de courage, elle a progressivement intégré, dans son champ sémantique, des vertus psychologiques ou morales. Rapprochée souvent de celle de la masculinité – ensemble de traits attribués aux personnes de sexe masculin –, elle s’en distingue, cependant, par une plus grande visibilité et superlativité.
L’auteur propose ici des développements subtils croisant les perspectives psychanalytique et anthropologique nourrissant la réflexion sur la dialectique du féminin et du masculin. Cet abord de la virilité dépasse la thèse de « l’anatomie comme destin » et celle de la fécondité comme marqueur de la différence sexuelle. Ses positions s’inscrivent dans le projet de mettre fin à la guerre des sexes.
Mauvais à l'école, inadapté, déprimé, vieillissant : "Carton man" a perdu tous ses repères. Il est dépassé par "Plastic woman", plus riche, plus ambitieuse. plus polyvalente, plus diplômée aussi. La fin de la domination masculine a sonné ! Partout dans le monde et pour la première fois de notre histoire, nous assistons à un incroyable basculement social et culturel. Les signes sont tangibles : plus de femmes saoudiennes doctorantes, plus de Chinoises au volant de Ferrari rouges, plus d'Indiennes femmes d'affaires, une Islandaise et une Sud-Coréenne à la tête de leur gouvernement. Dans le monde occidental, l'appétit et les pratiques sexuelles des femmes feraient pâlir les pires machos. A quoi bon garder un homme à la maison ! Spectaculaire, drôle et parfois effrayant, ce livre prend acte d'un renversement de tendance profond, visible et inéluctable. Il nous ouvre les yeux, nous projette dans l'avenir, bouscule les idées reçues. Le débat est lancé !
Comment penser la virilité aujourd’hui ? Comment envisager l’articulation du « naturel » et du culturel ? Quelles ont été, depuis l’Antiquité, les positions théoriques et religieuses ?
Cette analyse, fondée sur une réflexion philosophique, établit un rapport entre les luttes féministes – notamment leurs excès, quand elles prennent, par exemple, l’allure d’une lutte des classes – et les troubles de la virilité révélés par des comportements atypiques dans les populations masculine et féminine, virant parfois à la violence pure.
Féru de littérature, Freud se disait peu perméable à la musique. Il ne fut pourtant pas insensible au chant des sirènes ni à la souffrance que cache leur séduction, celle d’avoir à porter comme un défaut inhérent à leur condition le malentendu du rapport entre hommes et femmes que l’opéra met en scène dans toutes ses variantes.
Des études statistiques confirment que les femmes sont plus nombreuses que les hommes à vivre la maladie d’Alzheimer, qu’il s’agisse de leur propre mal ou de celui d’un proche à soutenir. Et, quand c’est bien la femme qui est affectée dans son esprit et dans son corps, quelles traces de sa féminité subsistent alors dans son discours et dans ses actes ? Comment la malade se vit-elle femme malgré tout ? La présentation de deux cas cliniques invite à cette réflexion singulière.