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Considérant le processus de contact comme un enchaînement ordonné de schèmes de mouvements ayant chacun leur corrélat psychique, l’auteur expose un vocabulaire non verbal de six mouvements fondamentaux dont elle explicite les deux premiers : « se laisser aller avec » (être avec l’autre) et « pousser contre » (se séparer de l’autre tout en l’incluant). Un exemple clinique vient illustrer cette manière de travailler avec le mouvement corporel qui, simultanément, médiatise et révèle la dynamique relationnelle en jeu.
Si l’avancée des connaissances peut justifier de reconsidérer les paradigmes avérés, toutes sciences confondues, encore faut-il savoir se prémunir de ses possibles effets délétères. Ainsi en est-il de la psychopathologie qui risque de se voir amputée d’un de ses principaux fondements : la compréhension raisonnée de la souffrance psychique. C’est pourquoi l’auteur en appelle à réinterroger la conception actuelle de la psychopathologie en même temps qu’il insiste sur l’importance d’y intégrer la problématique du corps.
Les patients douloureux chroniques questionnent la pratique. Comment les psychologues cliniciens les écoutent-ils ? Qu’écoutent-ils ? Que font-ils de la dimension de la douleur ? En se fondant sur deux études de cas, les auteures montrent comment l’expression de la douleur physique peut révéler des souffrances psychiques passées. Et comment, à l’inverse, l’écoute du corps, peut bloquer la pensée du patient. Un pari et un parcours surprenants.
Comment aider le sujet à penser / panser son traumatisme pour lui permettre de trouver une perception identitaire nouvelle lorsqu’un accident neurologique est venu faire effraction dans sa temporalité et a bouleversé son identité psychique et corporelle ? Immersion dans un service de médecine physique et réadapation.