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« J’ai voué à Vienne une haine personnelle et, à l’inverse du géant Antée, je prends des forces nouvelles chaque fois que je pose le pied hors du sol de la ville paternelle (1) », disait Freud à Fliess dans une lettre du 11 mars 1900. Héraclès affronta le géant Antée, fils de Poséidon et de Gaia, la Terre, lorsqu’il partit à la recherche des pommes d’or du jardin des Hespérides. Le combat fut âpre, le géant devenant plus fort chaque fois qu’il touchait la terre. Héraclès s’en aperçut, prit le géant et le souleva de terre, l’étouffant en l’air de sorte qu’il meure privé du contact avec sa mère nourricière.