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En parallèle de l’hommage à Max Pagès que nous publions ce mois-ci, l’auteure de cet article, qui a travaillé plusieurs années avec le psychosociologue, examine les liens entre le corps et la vie psychique à la lumière de différents courants de la psychosomatique, et en particulier de la théorie de Max Pagès, qui fait de l’émotion le « relais » entre psyché et soma.
Au regard des valeurs culturelles de notre société contemporaine, l’alcoolisme est souvent considéré comme le problème d’un individu : l’alcoolique. Cependant, l’auteure nous invite ici à décentrer la réflexion sur le seul sujet singulier alcoolique et son entourage pour réfléchir sur leurs liens. Il s’agirait alors d’explorer ces liens dans cet espace groupal où cohabitent sujet singulier et environnement social, alcoolique et non-alcoolique, culturel et psyché.
Comment l’investigation psychologique menée au sein de la Protection judiciaire de la jeunesse peut-elle, malgré la contrainte qu’elle représente, permettre d’engager un véritable travail du lien ? Cet article propose une réflexion autour des modalités d’exercice du psychologue clinicien, lorsqu’une mesure judiciaire d’investigation éducative est engagée. « Bricoler le dispositif » tout en construisant un cadre interne rigoureux semble être la condition sine qua non de l’émergence d’une authentique rencontre avec les familles et les jeunes.
Quand il est question de sexualité, elle est souvent entendue par les psychanalystes comme une répétition de la sexualité infantile. Et même si celle-ci est toujours présente et se retrouve dans les alliances inconscientes du lien de couple, la sexualité dans son « actualité » revient souvent dans la plainte des patients, pouvant alors être entendue comme une désintrication entre le courant sensuel et le courant tendre. Or, n’est-ce pas justement l’imbrication de ces deux courants qui est le gage de la longévité du couple et de son bon fonctionnement ?
Si le lien d’alliance est le fondement de la famille dans notre civilisation occidentale, c’est de l’articulation entre l’attachement et le désir que dépend le bon fonctionnement du couple. L’auteur nous en fait la démonstration en se référant aux modalités de choix d’objet articulé à la théorie de l’attachement de John Bowlby et au choix d’objet transgénérationnel.
Quelles sont les théories psychanalytiques sur le couple qui peuvent être vérifiées sur le terrain ? Quelles dimensions principales sous-tendent la relation conjugale, de sa formation à sa persistance au fil des années ? Tel a été le fil rouge de cette recherche empirique menée pendant plusieurs années par un groupe de psychanalystes romains sous la houlette d’Anna Maria Nicolò, dont quelques résultats et observations significatifs sont ici présentés et illustrés à travers un cas clinique.
Ce dossier vise à comprendre les problèmes qui se posent dans la sexualité et le sexuel du lien conjugal. Il est réalisé par des spécialistes qui représentent les différents courants de la psychanalyse de couple, les uns venant d’Europe (Angleterre, Espagne, France et Italie), les autres des Amériques (Argentine et Panama).
Le handicap invisible plonge l’individu dans des incertitudes à la fois psychologiques, relationnelles et identitaires, en dehors d’une réalité partagée. Par un effort de définition et de mise en perspective des situations vécues, le travail psychologique vise une meilleure connaissance et cohérence de soi en lien avec les autres. Les cas de Julie et Franck témoignent ici de ce processus non linéaire de prise de conscience et d’intégration de leur réalité.
Le 5e Congrès de l’Association internationale de psychanalyse de couple et de famille s’est tenu du 25 au 28 juillet 2012, à Padoue (Italie).
Voir http://www.aipcf.net/
Le cadre d’un service médico-social dit « nomade » en Guyane française a permis l’élaboration d’un dispositif original d’accompagnement d’un adolescent fondé sur l’importance de la notion de territoire, du lien entre territoire psychique et espaces de vie. C’est en l’accompagnant physiquement dans ses différents lieux d’investissement, y compris le domicile, que l’accompagnement psychique a pu s’envisager et prendre corps.