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L’Association des enseignants-chercheurs en psychologie des universités (AEPU) vient de publier la 10e édition de son Panorama national des masters 2. Un document qui, au-delà de la mise à disposition d’un travail considérable de recueil et de mise à jour des données, invite à une réflexion sur le cadre de la formation et les dispositions réglementaires qui la structurent. Pour cette édition 2018, c’est ici une mise en exergue des choix relatifs à la durée et la répartition des stages, du nombre de titres de psychologues délivrés ou encore de la nomenclature des masters et de ses effets qui nous est présentée.
Dans un communiqué du 12 février 2014 1, l’Association
française des psychologues de l’Éducation nationale (AFPEN)
réitérait son alerte concernant le statut des psychologues inscrits dans le système
éducatif, notamment dans le primaire.
Psychologue hospitalière en début de carrière, l’article de Rémy Mervelet a particulièrement attiré mon attention *. Je partage son opinion, ses questionnements relatifs à la place du psychologue au sein du milieu hospitalier, ainsi que sa proposition de créer un doctorat d’exercice permettant justement de repenser, par la suite, cette place. Cependant, l’idée d’une modification du cursus de formation des psychologues me donne à réfléchir… À ce niveau, je ne partage pas ce même point de vue.