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La mobilité des personnes vulnérables est un enjeu de santé publique. Mieux comprendre les comportements réels de ces usagers, leurs attentes, leurs stratégies, permettrait de modifier et d’adapter leurs environnements ou encore de concevoir des dispositifs de remédiation et de (ré)apprentissage. Des programmes de recherche associant environnements réels et virtuels œuvrent en ce sens. Présentation.
La mobilité ne se résume pas à une simple activité physique, mécanique ou technique, elle est aussi éminemment culturelle, sociale. Ces normes sociales sont acquises dès la petite enfance, mais elles ne seraient pas internalisées ni transmises de la même façon selon le sexe de l’enfant. La psychologie permet de questionner et expliquer l’influence de ces stéréotypes sur la mobilité des personnes dans l’espace routier, afin de proposer des dispositifs d’éducation et de prévention au service des enjeux de sécurité routière.
Comment inciter les usagers de la route à adopter de meilleurs comportements de mobilité ? Comment concevoir des actions de promotion qui soient efficaces, durables et peu coûteuses ? Les théories issues de la psychologie sociale, partant du postulat que la perception subjective permet une meilleure prédiction des comportements que la perception objective, peuvent proposer des pistes de solutions. Quelques-unes sont détaillées ici.