Mort

Test alt

Dans la rubrique : Lire

Avec V. Despret, V. Garcia et M. Maglio, A. Allard, M. Molinié, G. Cuchet, K. Kerestetzi, A. Hagerty.

Test alt

Dans la rubrique : Lire

Les fabuleux progrès de la médecine contemporaine ont permis de tenir la mort éloignée dans le temps, avec une espérance de vie qui ne cesse d'augmenter, mais aussi dans l'espace. En effet, la mort est aujourd'hui une affaire de professionnels. Il revient aux médecins, paramédicaux, psychologues, exerçant au domicile du patient, dans un centre hospitalier universitaire ou encore en maison de retraite médicalisée, de prendre en charge la finitude des vivants. Mais alors que leur mission est de soigner, quels rapports les soignants entretiennent-ils avec la mort ? Comment assument-ils la part de violence de ces vies qui s'achèvent ? Comment le médecin généraliste, l'infirmière en gériatrie peuvent-ils se préparer au décès de leur patient ? Comment accepter ces morts inéluctables dans les services de soins palliatifs ? Face à la répétition des décès des personnes qu'ils tentaient de guérir ou dont ils prenaient soin, les soignants doivent créer les conditions pour ne pas souffrir des multiples deuils et, malgré tout, bien travailler. Ils ont à reconstruire le sens de leur activité selon les spécialités, les services ou encore la situation particulière du patient.

Dans la rubrique : Article

Face à la guerre mondiale désastreuse pour les peuples européens, pessimiste sur l’avenir de la civilisation, inquiet pour l’avenir de la psychanalyse, Freud s’appuie sur des observations menées sur les névroses de guerre pour relancer et réorienter ses élaborations théoriques, refonder l’appréhension de l’inconscient et construire ce que l’on a appelé la « deuxième topique ». On comprend bien ici la manière dont s’effectue, au sein de la conceptualisation psychanalytique, l’ouverture de nouvelles voies.

Dans la rubrique : Article

À l’adolescence, quand les objets d’étayage parentaux, notamment, sont défaillants, l’investissement de soi devient difficile à réaliser ; des « trous » dans la représentance psychique du sujet se forment, laissant place à des débordements pulsionnels et émotionnels. Le corps devient alors le lieu par lequel certains tentent de résoudre leurs conflits allant parfois jusqu’à une mise en acte suicidaire. Cet article, issu de l’ouvrage L’Adolescence et la mort, publié sous la direction d’Yves Morhain chez In press (voir p. 75), observe l’aide que peut apporter une psychothérapie à médiation dans l’élaboration de cette violence.

Pages

S'abonner à RSS - Mort

Abonnez-vous !

pour profiter du Journal des Psychologues où et quand vous voulez : abonnement à la revue + abonnement au site internet

Restez Connecté !

de l'actualité avec le Journal des Psychologues
en vous inscrivant à notre newsletter