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Le sport propose une diversité de formes d’activité collective. Qu’il s’agisse d’être performant en équipe ou de se motiver à pratiquer une activité physique régulière, la recherche en psychologie du sport et de l’activité physique éclaire les mécanismes essentiels du travail d’équipe, de la motivation, de l’intelligence collective et émotionnelle. C’est à partir de ces principaux ressorts de l’activité collective inscrits dans un rapport spécifique à la pratique sportive que les auteurs nous amènent à mieux cerner les dynamiques de compétition et de coopération en jeu.
C’est ici une revue critique des notions de motivation, d’engagement et de sens du travail qui est proposée, en indiquant les proximités et les différences de perspective entre elles. Ces notions, fondées sur le sentiment ou le ressenti individuel, visent à expliquer les liens psychologiques et affectifs avec le travail, et inversement leur affaiblissement. L’on verra que, centrées sur l’individuel, elles laissent peu de place au poids des variables d’organisation et de conditions de travail, même si celles-ci les influencent.
Le mois dernier, nous avons consacré notre dossier à la psychologie positive, ce qui a permis de mettre en relief cette discipline de la psychologie apparue à la fin des années 1990. Cet article poursuit la démonstration à travers la présentation des théories motivationnelles et des liens que la motivation entretient avec la psychologie positive.
La motivation est devenue monnaie courante. De la lettre de motivation, exercice incontournable, nécessaire, mais peu discriminant pour l’embauche, à la motivation au travail ou à l’école, chacun connaît cette notion. C’est même devenu une norme générale : il faut être motivé, ou du moins se déclarer tel. On n’imagine pas quelqu’un dire qu’il ne l’est pas !
L’obligation d’éducation thérapeutique suscite des questions relatives à sa gestion et à sa mise en place ; elle interroge autant la définition du soin que celle des pratiques de soin et la relation médecin-malade. La pratique de la diabétologie, en fournissant des exemples relatifs à la façon dont chaque patient investit sa maladie chronique, met à mal l’idée qu’il existerait un mode opératoire unique de prise en charge pour une pathologie donnée, et donc une éducation thérapeutique qui pourrait s’appliquer de façon mécanique.