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L’évolution de la profession des psychologues et la question de l’allongement de sa formation animent depuis fort longtemps les débats. Et si la profession semble néanmoins s’accorder sur la nécessité d’un changement pour une meilleure reconnaissance, les avis continuent de diverger sur les résolutions : psychologue sanitaire, diplômé d’État ou docteur ? Dans cette tribune, Benoît Schneider vient nourrir la discussion en s’arrêtant sur quelques points qu’il souhaite expliciter ou approfondir.
Le congrès de la Fédération française des psychologues et de psychologie (FFPP) s’est tenu en février dernier et son conseil d’administration a élu ses coprésidents, Gladys Mondière, jusqu’alors membre du bureau fédéral et chargée de mission « psychologues dans le champ de la santé », et Benoît Schneider, président sortant. Présentation des perspectives pour la Fédération sur fond de crise salutaire.
La question relative aux enjeux de la réglementation du code en induit bien d’autres, et notamment celles liées à sa non-réglementation actuelle : la non-réglementation du Code de déontologie des psychologues sert-elle ou dessert-elle les psychologues ? Pourquoi, vingt ans après sa publication, n’est-il toujours pas réglementé ? Quels sont les effets de cette non-réglementation ? Quel est l’intérêt de le réglementer aujourd’hui ? Quelles sont les voies de réglementation possibles ? Patrick Cohen revient ici sur les enjeux de la réglementation du code et esquisse quelques éléments de réponse à ces questions soulevées par l’actualité professionnelle *.
L’organisation de la profession et son insertion au sein du système de santé publique sont un thème sur lequel il n’existe pas encore de consensus. En témoigne notre dossier sur « La place des psychologues dans les systèmes hiérarchiques », publié en octobre dernier. Pierre Soustre vient ici nourrir et compléter la réflexion, en réaffirmant la nécessité d’une représentation collective et instituée des psychologues, afin qu’ils soient intégrés dans le système et puissent agir sur lui.
Le travail du psychologue en Nouvelle-Calédonie suppose l’accueil d’une population multiculturelle et d’évoluer dans une organisation institutionnelle singulière. Six psychologues membres du Collège des psychologues de Nouvelle-Calédonie partagent leurs réflexions à propos de l’organisation de la profession, de leur identité professionnelle et de la défense de leur éthique face à leurs hiérarchies. Une action collective est actuellement menée pour soutenir l’inscription du Code de déontologie dans une Loi de pays.