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Dans cet article, l’auteur s’interroge sur l’emploi généralisé de la notion d’autisme. Ce terme est utilisé selon lui quasi systématiquement au singulier, notamment dans les médias, mais aussi dans les ouvrages de référence en la matière comme dans la dernière version du DSM ou encore dans la nouvelle stratégie nationale de santé du gouvernement pour la période 2018-2022… Le mot « autisme » et son emploi semblent donc supposer une entité ou pathologie précise. Mais, pour l’auteur, la réalité est bien plus complexe, subtile et multiple.
Si les récits de rêve constituent
une indication approximative des
rêves que nous faisons pendant la nuit,
ils permettent néanmoins de nous
interroger sur leur fréquence et notre
capacité de restitution en fonction
de certaines variables, comme la
personnalité, les aptitudes cognitives,
les pathologies, la prise de substances
ou encore le fonctionnement cérébral…
Aussi, que nous apprennent les recherches
expérimentales actuelles sur la fréquence
des rapports de rêve ?