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Que ce soit en matière de formation, d’évaluation, de rééducation ou encore en tant qu’acteurs de la recherche, les psychologues ont un rôle important à jouer dans le domaine de la sécurité routière. Les auteurs en font ici la démonstration, tout en posant un regard critique sur les modalités d’intervention et l’opérationnalisation des pratiques professionnelles actuelles, soulignant ainsi la nécessité de développer une vision plus holistique afin de proposer des axes d'accompagnement plus adaptés.
Faire le choix de pratiquer le packing est une décision qui suppose une réflexion pluridisciplinaire. Cet article rend compte du cheminement d’une équipe qui a souhaité réintroduire ce dispositif au sein d’un service de psychiatrie adulte après l’avoir abandonné pendant de nombreuses années. Des questionnements qui ont accompagné ce choix à la formation des professionnels et à l’élaboration du projet de soin, l’auteure expose ici, à la lumière de la prise en charge de Monsieur C, les différentes étapes de ce processus.
La conceptualisation et l’utilisation de techniques spécifiques à la gestion des troubles sévères du comportement permettent de proposer des alternatives à la contention et à l’isolement, tout en mettant en exergue la dimension éthique, la dignité de la personne et une logique de soins. Présentation d’un exemple de dispositif de prise en charge des personnes autistes en unité de soins intensifs.
Il arrive qu’au cours des soins, les professionnels immobilisent un patient. Les situations concernées sont très diverses, pourtant, nombreuses sont celles qui soulèvent des interrogations dans le débat public ou parmi les professionnels, notamment dans le champ de la santé mentale.
Les écrits des psychologues rédigés dans le cadre de leur exercice professionnel visent à rendre compte de leurs interventions et à soutenir leurs spécificités. Ils deviennent aussi, selon l’auteure, de véritables outils professionnels de développement, correspondant alors à une forme sublimée de l’intervention psychologique.
Lors de l’évaluation des candidatures à l’agrément des assistants familiaux, le psychologue, s’il est clinicien, doit à la fois répondre à la commande institutionnelle et respecter son éthique clinique. Entre la fonction technique d’expert et la posture d’écoute du sujet dans sa souffrance, comment se positionner en équilibre ?
Le phénomène sociétal de crise migratoire mondiale auquel nous assistons soulève des enjeux éthiques pour les cliniciens, confrontés comme jamais depuis la Seconde Guerre mondiale à une symptomatologie complexe du trauma et au besoin de trouver de nouveaux paradigmes, à l’intérieur et au-delà de la clinique. C’est ici l’exemple des millions de personnes déplacées et accueillies en Turquie qui est abordé et leur grande difficulté à accéder aux soins et à se reconstruire, mais aussi les facteurs de risques psychologiques auxquels sont confrontés les professionnels qui les prennent en charge.
Comment un psychologue peut‑il procéder à une évaluation sans tomber dans les chausse-trappes que sont le risque d’instrumentation ou encore la visée normalisante ? Si le Code de déontologie des psychologues offre des indications précieuses sur cette démarche d’évaluation consentie par le patient, l’auteur suggère également de distinguer les notions d’évaluation et d’examen proprement dit, et de rendre au psychodiagnostic toute son originalité et sa pertinence.