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En juillet 2013, Ophélia Avron acceptait, dans le cadre de ce dossier, d’apporter son éclairage sur les processus de symbolisation et l’évolution qu’elle en proposait.
Le 2 octobre 2013, cette grande figure de la psychanalyse, et notamment du psychodrame, nous quittait, elle qui, à travers la mise en place de médiations
diverses, avait excellé à faire advenir chez l’autre son propre potentiel créateur, comme l’avait rappelé Henri-Pierre Bass en hommage à ses travaux*.
Pratiquer la psychothérapie en milieu pénitentiaire nécessite un respect rigoureux de principes théoriques et éthiques, mais implique cependant certains aménagements en raison des personnalités rencontrées et des contraintes de la vie carcérale. Les auteurs, qui ont pratiqué et développé diverses méthodes de psychothérapies en prison, présentent ici le cadre, les principes, l'intérêt et les difficultés de ce type d'approches.
Ophélia Avron nous a quittés avec discrétion le 2 octobre 2013.
Elle était, depuis plusieurs décennies, l’une des figures centrales, en France, de l’approche clinique et théorique des groupes, et ses
travaux étaient connus sur le plan international.