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Julia Kristeva, linguiste, professeur émérite à l’université Paris-VII et romancière, est aussi une figure importante de la psychanalyse contemporaine. Dans son dernier ouvrage, Je me Voyage, qui se situe entre l’introjection propre aux mémoires et la dialectique de l’entretien, elle revient sur ses expériences, intimes et professionnelles, sur ce qui a nourri ses intérêts intellectuels… Samuel Dock, qui l’a accompagnée dans ce voyage, nous dévoile cette intellectuelle qui a su traverser les frontières, mais aussi les disciplines, les normes et les théories.
Comment le dire ? Des gravures, des illustrations, des aquarelles, un grand nombre de ses tableaux, mais aussi des œuvres de peintres qui ont compté dans la formation artistique de Hopper, tels Albert Marquet, Félix Valloton, Camille Pissarro, ou encore des peintres américains comme Thomas Eakins, Robert Henri, Walter Sickerts… Bref, une rétrospective exquise à travers laquelle on suit le parcours du peintre, pas à pas. Exquise et troublante : la lumière, les grands espaces, les maisons, la solitude des personnages, les décors, la vie silencieuse et inquiétante… Voici quelques mots qui essaient en vain de circonscrire « l’expérience Hopper »…