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Depuis son apparition dans les années 1960, le génogramme s’est imposé comme un outil de référence dans l’appréhension des systèmes familiaux, devenant ainsi un incontournable dans la clinique systémique. Convaincues par sa vitalité et sa malléabilité dans les domaines de la thérapie, de la formation ou encore de la supervision, les auteures nous en font la démonstration en mettant en avant de manière originale les sept points forts – les 7 « A » –qui le caractérisent.
Les méthodes en psychologie du travail proposent des pratiques et règles de métier au service de l’activité professionnelle et de la santé au travail. Les outils privilégiés sont ceux des subjectivités rencontrées sur les terrains d’intervention. Cet article présente quatre dispositifs de praticiens convergeant vers les mêmes finalités : contribuer à remettre en discussion le travail des professionnels, rendre visibles les soubassements de leur souffrance au travail et développer leur métier de façon satisfaisante à l’égard des contraintes professionnelles et institutionnelles.
À l’heure où la question des stages, de leur gratification, de leur durée, de leur place
dans la formation des psychologues, anime étudiants et associations de psychologues,
cela dans l’indifférence des pouvoirs publics, cette interview présente un modèle
de formation pratique qui pourrait faire rêver d’aucuns. Et, peut-être que, dans ses
multiples aspects, elle donne matière à réfléchir sur l’élaboration du modèle français.
Un événement vient de se concrétiser : le processus d’application d’EuroPsy en France est entré dans une phase nouvelle, puisque le Comité français de délivrance de la certification EuroPsy (CoFraDeCEuroPsy) va être « cogéré » par la Fédération française des psychologues et de psychologie (FFPP) et la Société française de psychologie (SFP), cela faisant suite à une phase de concertation de plusieurs mois.
En mars 2012, Dana Castro, avec le soutien du Journal des psychologues, lançait une enquête à l’adresse des professionnels effectuant des suivis psychothérapeutiques en France, au Québec et au Vietnam, dans un contexte marqué, en France et au Québec, par l’évolution de la loi sur l’exercice et le titre de psychothérapeute, et au Vietnam par l’émergence de cette profession. L’objectif visé était de cerner les facteurs individuels, cognitifs, affectifs et relationnels qui sous-tendent et définissent les pratiques.
Les résultats de l’enquête présentée en ouverture de ce dossier ont pointé que les psychothérapeutes français entamaient davantage une supervision une fois leur carrière professionnelle engagée. L’analyse des objectifs, modalités et butées de la supervision, individuelle ou en groupe, montre ici qu’elle peut tout autant être un point nodal de la formation initiale des psychologues.
Définie comme « un processus intentionnel et documenté par lequel sont appliquées des méthodes cliniques et des postures interpersonnelles dérivées de principes psychologiques scientifiquement avérés, dans l’objectif d’assister des personnes, de modifier leurs comportements, cognitions, émotions et-ou autres caractéristiques personnelles dans le sens jugé désirable par ces derniers » (APA, 2013), la psychothérapie apparaît comme une pratique diversifiée et complexe, en perpétuelle mutation, attentivement scrutée par ses usagers et prescripteurs, régulièrement interrogée par la recherche scientifique.
Pratique aux multiples facettes, elle impacte indéniablement ceux qui l’exercent ou ceux qui s’y engagent.
La fonction de supervision est souvent convoquée au sein des équipes de travailleurs sociaux, mais qu’en est-il de la place et du rôle du professionnel qui l’assurera ? Quelle est la nature de ses interventions ? Si la fonction de superviseur touche au « désencombrement » du transfert s’établissant entre un sujet et un professionnel, reste à voir les paradoxes de cette position et les exigences qu’elle requiert.
Une belle victoire en ce mois de mai pour la profession ; une victoire de l’unité et du rassemblement révélée par deux excellentes nouvelles coup sur coup qui prouvent que l’engagement commun peut parfois porter ses fruits.