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La recherche en neuropsychologie, portant sur les troubles cognitifs liés notamment à la maladie d’Alzheimer, abonde. Les protocoles de renforcement qui en découlent ne permettent pas toujours de prendre en compte les besoins spécifiques de chaque patient. Le dispositif proposé ici, à partir du récit de contes de fées, propose tout au contraire de s’appuyer sur les affects, les représentations et les capacités de rêverie de chacun pour soutenir le maintien de leurs fonctions cognitives.
Un ouvrage pluridisciplinaire sur la communication avec les handicapés. En croisant sciences de l'éducation, psychologie et sociologie, les auteurs définissent les problèmes techniques et sociaux rencontrés par les proches et les professionnels dans les entretiens et les conversations avec des personnes en situation de handicap.
L'autisme touche des dizaines de milliers de personnes en France. Ce livre témoigne des progrès accomplis dans la compréhension des aspects génétiques, neurologiques et cognitifs de cette maladie, et des handicaps qu'elle entraîne.
La grande diversité de ses symptômes, notamment les troubles de la communication et de la socialisation, rend difficiles son diagnostic et son traitement. Se pose également le problème de la prise en charge des enfants et du soutien de leur famille dans une société mal préparée à les accueillir.
Cet ouvrage de référence, à l'initiative de l'Arapi, est écrit par les meilleurs spécialistes français et internationaux.
À la suite d’une étude réalisée à Grenoble en 2000 sur l’état cognitif, l’état dépressif et la qualité de vie des patients dialysés de plus de 70 ans, un groupe de recherche a renouvelé ces travaux en 2010 sur une cohorte répondant aux mêmes critères. Les résultats de cette étude comparative confirment les spécificités de cette population et l’importance, pour un effet bénéfique des traitements et le vécu de la maladie, d’une prise en compte globale de la personne.
Soutenir la pulsion de vie par un investissement narcissique du sujet, lui permettant ainsi une certaine contenance psychique et mnésique, tel est l’objectif des ateliers-mémoire mis en place auprès des résidents d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes.
Présentation d’un dispositif dont la singularité peut inspirer.
Si le travail de deuil est toujours un cheminement douloureux à accomplir, comment peut-il s’opérer quand les ressources psychiques sont altérées par le grand âge ? Quelles répercussions cognitives peuvent en découler, et notamment quand c’est un membre de la filiation qui disparaît ? Quelles attentes sous-tendent l’alliance thérapeutique ? L’histoire de Madame F nous ouvre quelques pistes pour penser cet accompagnement et la place que peut y occuper le psychologue.
Concevoir l’importance de l’infantile sur la construction de notre appareil cognitif et de notre psychisme est entré dans la représentation commune ; et la psychanalyse y a largement contribué par le dévoilement des traces laissées par le vécu. Mais la question se pose tout autrement ici, puisqu’on ne peut percevoir intimement ce qui n’a pas encore laissé de traces en soi. Qui sommes-nous, lorsque nos capacités motrices, cognitives ou notre autonomie déclinent ? quand les années qui nous restent à vivre, si elles nous sont inconnues, nous placent si près de la mort ? Et de quels professionnels avons-nous alors besoin ?
Quels peuvent être le rôle et la mission du psychologue auprès des sujets âgés accueillis en long séjour de gériatrie et des équipes soignantes qui les entourent ? Comment penser le cadre d’intervention, et selon quels critères ?
Comment soutenir les résidents dans cette ultime étape de vie ?
Souplesse et créativité seront les prémices de toute élaboration de modalités d’accompagnement.
Les patients cérébro-lésés souffrent de lésions cérébrales dues à des traumatismes crâniens, des tumeurs, des accidents vasculaires. Ils présentent des atteintes cognitives comme des troubles du langage, de la mémoire, du geste, de la reconnaissance des visages, de l’orientation dans le temps et dans l’espace. Cette multiplicité des atteintes qui touche à la perception de son identité propre par le sujet est un élément essentiel à prendre en compte. L’on se doit de constater aussi que cette pathologie a été pendant longtemps peu explorée dans ses dimensions clinique et psychopathologique.