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Accompagner des femmes qui vivent une expérience migratoire compliquée,
mêlant précarité, absence d’hébergement fixe et maternité, impose de penser
une clinique spécifique aux confins des dimensions sociale, culturelle et
psychologique. Une clinique engagée…
pour permettre à ces femmes de renouer avec leur histoire et au temps psychique de reprendre son cours.
Caminante est l’un des ces jeunes errants qui va d’un groupe à l’autre ou qui voyage
seul avec son chien… Sa rencontre a ouvert une voie singulière de réflexion
sur l’errance envisagée ici comme un aménagement psychique permettant
de rendre moins destructrice une psychose à l’œuvre depuis l’adolescence.
Un autre regard que l’on peut poser sur ces jeunes pour mieux les accompagner dans le « monde » dans lequel ils sont parvenus à s’inscrire.
Comme en témoigne l’adoption du Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale en janvier dernier, le sort des personnes que les économies
modernes jettent à la rue – hors de leur domicile et, parfois même, hors de leurs frontières – est une préoccupation majeure du gouvernement
de Jean-Marc Ayrault.
Un voyage à travers l’œuvre de David Le Breton sur l’errance, la passion du risque, les tatouages, les scarifications… qui offre un éclairage sociologique et anthropologique sur les conduites à risque des adolescents, sans occulter pour autant la question de leur mal de vivre et de leur souffrance.