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Accueillir des réfugiés syriens signifie aussi accueillir la souffrance psychologique de ces femmes et de ces hommes qui ont été confrontés à des événements traumatiques extrêmes, mais aussi celle des enfants, non moins exposés, et dont on sait que l’état de stress post-traumatique (espt) peut
les affecter de manière durable. Une étude réalisée auprès de sujets âgés de huit à seize ans provenant de la région d’Al-Qalamoun, en Syrie, et réfugiés au Liban, nous fournit ici quelques éléments qu’il nous faut considérer dans la prise en charge de ces enfants qui arrivent en France.