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Si la littérature relative aux problématiques liées à la greffe abonde, l’attention médicale s’est surtout orientée vers le patient allogreffé. Au service d’hématologie clinique du CHU d’Amiens s’est alors posée la question de penser la greffe à travers le prisme du receveur certes, mais aussi celui du donneur lorsqu’il y a un lien de parenté. Durant cette période, l’espace privé du patient devient public, le médical s’invite dans les histoires de famille et autres conflits ouverts ou latents dans la fratrie.
Le décès brutal d’un enfant confronte parfois les parents à une décision tragique, celle d’accepter ou non un prélèvement d’organe consécutif à un état de mort encéphalique. Les familles endeuillées sont souvent seules avec leurs interrogations. Comment les parents parviennent-ils à se déterminer ?