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Il n’est souvent pas facile de conclure à la fin d’une cure psychanalytique. Comment déterminer que le travail sur soi entrepris, parfois pendant des années, peut s’arrêter ? Dans cet article, on s’interroge à la fois sur la « fin » en tant que terme de la cure et en tant qu’objectif : lorsque l’analysant s’est réconcilié avec ce qui le faisait souffrir, devenu une solution à sa condition d’être humain, peut-on dire que la cure est finie ?
L’éthique des psychologues et des psychanalystes se rejoint dans la question de l’écriture de la clinique dont les enjeux concernent les cliniciens eux-mêmes, les patients, et leurs divers interlocuteurs – institutions de soins ou sociales, tiers impliqués. Comment écrire, mais aussi lire la clinique ? Cet article nous propose d’y répondre aussi bien sous l’angle de la production que du destin des écrits.
Quand il est question de sexualité, elle est souvent entendue par les psychanalystes comme une répétition de la sexualité infantile. Et même si celle-ci est toujours présente et se retrouve dans les alliances inconscientes du lien de couple, la sexualité dans son « actualité » revient souvent dans la plainte des patients, pouvant alors être entendue comme une désintrication entre le courant sensuel et le courant tendre. Or, n’est-ce pas justement l’imbrication de ces deux courants qui est le gage de la longévité du couple et de son bon fonctionnement ?
Une belle victoire en ce mois de mai pour la profession ; une victoire de l’unité et du rassemblement révélée par deux excellentes nouvelles coup sur coup qui prouvent que l’engagement commun peut parfois porter ses fruits.
Contestée ou adoptée sans condition, la psychanalyse suscite toujours la controverse. Quel est son statut actuel en psychologie ? Quelles sont les évolutions qui ont enrichi sa portée ? Quelle est sa force clinique aujourd’hui ? Et comment réagissent les psychanalystes ?
Quelques pistes de réflexion pour continuer le débat.