En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et des offres adaptés à vos centres d'intérêts.
Faire le choix de pratiquer le packing est une décision qui suppose une réflexion pluridisciplinaire. Cet article rend compte du cheminement d’une équipe qui a souhaité réintroduire ce dispositif au sein d’un service de psychiatrie adulte après l’avoir abandonné pendant de nombreuses années. Des questionnements qui ont accompagné ce choix à la formation des professionnels et à l’élaboration du projet de soin, l’auteure expose ici, à la lumière de la prise en charge de Monsieur C, les différentes étapes de ce processus.
Immobiliser un patient pour pratiquer une intervention thérapeutique, pour protéger la personne d’elle‑même ou encore ceux qui l’entourent, est un acte qui soulève de nombreux questionnements éthiques et qui peut parfois être considéré comme une entrave à l’intégrité physique et psychique du patient. Aussi, comment les équipes pensent-elles et formalisent-elles ces interventions ? Quid de leur cadre juridique ? Éléments de réponse.
Il arrive qu’au cours des soins, les professionnels immobilisent un patient. Les situations concernées sont très diverses, pourtant, nombreuses sont celles qui soulèvent des interrogations dans le débat public ou parmi les professionnels, notamment dans le champ de la santé mentale.
Malgré les controverses suscitées par ses résultats thérapeutiques, l’auteur de La Forteresse vide offre pourtant une approche clinique de l’enfant autiste relativement moderne. Orientée par la psychanalyse, elle démontre certaines ressemblances avec les méthodes comportementales et cognitives.
Derrière le terme générique de « médiations corporelles thérapeutiques » auxquelles les psychomotriciens se réfèrent, se regroupe un ensemble hétéroclite de pratiques qui divergent sensiblement dans leur conception du corps et de son utilisation dans le champ thérapeutique. Cette pluralité des approches favorise l’investigation des idées et usages touchant au corps, et interroge de manière plus générale la place de celui-ci dans la dimension psychothérapeutique du soin.