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Au regard des valeurs culturelles de notre société contemporaine, l’alcoolisme est souvent considéré comme le problème d’un individu : l’alcoolique. Cependant, l’auteure nous invite ici à décentrer la réflexion sur le seul sujet singulier alcoolique et son entourage pour réfléchir sur leurs liens. Il s’agirait alors d’explorer ces liens dans cet espace groupal où cohabitent sujet singulier et environnement social, alcoolique et non-alcoolique, culturel et psyché.
Régresser s’oppose habituellement à progresser, à moins de considérer une de ses définitions : évoluer vers des formes plus primitives, plus informes, moins socialement codifiées.
Une relation sexuelle peut être vécue de manière agréable par les deux partenaires ou, à l’opposé, un banal échec sexuel peut s’aggraver et devenir un dysfonctionnement identifiable. C’est par le prisme du « couple state of mind », cette capacité de s’identifier psychiquement tant aux besoins du partenaire qu’à ceux du couple, que l’auteur aborde cette question du dysfonctionnement sexuel physique. Celui-ci serait alors lié à l’absence d’un espace tiers intériorisé pour l’un ou les deux partenaires.
Quelles sont les théories psychanalytiques sur le couple qui peuvent être vérifiées sur le terrain ? Quelles dimensions principales sous-tendent la relation conjugale, de sa formation à sa persistance au fil des années ? Tel a été le fil rouge de cette recherche empirique menée pendant plusieurs années par un groupe de psychanalystes romains sous la houlette d’Anna Maria Nicolò, dont quelques résultats et observations significatifs sont ici présentés et illustrés à travers un cas clinique.
Du "doudou" aux portables, en passant par nos bibelots, nos vêtements et les images de nos écrans, quelle relation entretenons-nous avec les objets de notre environnement ? Pour Serge Tisseron, l'objet ne prolonge pas seulement certaines de nos fonctions, il transforme la perception que nous avons de nous- mêmes, nos façons de tromper l'angoisse, nos manières de nous socialiser ou, au contraire, de nous isoler. C'est dire aussi que les objets qui nous entourent, tout autant que nos semblables, sont le support d'attentes, d'attachements, d'émotions, qui en font des médiateurs psychiques essentiels à la construction de notre existence sociale et de notre personnalité.