En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et des offres adaptés à vos centres d'intérêts.
Une redoutable question se pose aujourd’hui aux psychologues hospitaliers. Comment, en effet, pourront-ils préserver l’essence de la clinique dans le contexte dramatique que traversent les dispositifs hospitaliers et universitaires tant aux niveaux institutionnel que théorique ?
La profession de psychologue hospitalier, son rôle, ses prérogatives et son organisation font l’objet de négociations avec la direction générale de l’offre de soin (DGOS) qui doivent, a priori, se terminer en fin d’année (1). Les enjeux et différentes options négociables doivent être éclairés. Dans le cadre de ces entrevues au ministère de la Santé ont été mis en place des groupes de travail spécifiques sur les aspects statutaires, le titre de psychothérapeute et la fiche métier. Ces domaines qui régissent le cadre d’intervention des psychologues exerçant à l’hôpital public concernent également l’évolution globale de la profession.