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L’angoisse de mort est très présente dans nos sociétés occidentales. Mais qu’en est-il dans d’autres civilisations et d’autres cultures ? Dans cet article, l’auteure s’interroge sur la manifestation de cette angoisse au sein d’une culture dite « primitive », celle du peuple Bushinenge, en Guyane française. Également appelés Marrons ou Nègres Marrons, ils sont les descendants d’esclaves emmenés d’abord au Surinam pour travailler dans les plantations. À travers l’étude de leur système de croyances, qui repose notamment sur le culte des Ancêtres, l’auteure nous montre comment ce peuple réagit différemment de nous, face à la mort et à la maladie incurable. D’où l’importance, pour les soignants, d’ajuster leur pratique.
À partir de la Gradiva de Wilhelm Jensen et du texte qu’elle a inspiré à Sigmund Freud, on s’interroge dans cet article sur les liens entre délire, rêve et création artistique. Une réflexion qui s’attarde aussi sur les œuvres d’Alberto Giacometti et Auguste Rodin, pour questionner la représentation du mouvement et du vivant, et analyser ce qu’elle révèle de notre rapport à la mort.
Lorsque le corps a toujours été un lieu d’investissement narcissique,
et l’hyperactivité la solution pour
ne pas penser et réguler les tensions
psychiques, la survenue d’une maladie
neurodégénérative, au cours de laquelle
le sentiment est d’être « emmuré
vivant », va altérer fondamentalement
la structuration psychique de la personne.
Le travail d’accompagnement pour
faire face à la dégradation de l’image
de soi et aux deuils afférents aura
alors à remettre en chantier les assises
narcissiques et la symbolisation.
Comment aider le sujet à penser / panser son traumatisme pour lui permettre de trouver une perception identitaire nouvelle lorsqu’un accident neurologique est venu faire effraction dans sa temporalité et a bouleversé son identité psychique et corporelle ? Immersion dans un service de médecine physique et réadapation.