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Si la spiritualité et la religion relèvent du domaine du privé et de l’intime, qu’en est-il pour la personne âgée dépendante vivant en institution ? Comment ce besoin est-il pris en considération par les soignants ? Face aux dysfonctionnements qui peuvent conduire à une sorte de négation du sujet en institution, l’auteure rappelle l’importance de la notion de libre choix et insiste sur le rôle du psychologue auprès de chacun des protagonistes pour créer des espaces de parole et penser la singularité du sujet âgé.
Le cadre culturel offre des rituels qui entourent les grands événements de la vie d’une personne : naissance, mariage, mort. Ces rituels, hérités, signent une transmission et inscrivent le sujet dans un cadre d’appartenance. En ce sens, l’auteure pose l’hypothèse que le rapport à la culture peut s’appréhender de la même manière que le rapport à la mère, sécurisant et contenant, mais aussi paradoxal quand la culture devient objet de clivage. Elle s’appuie sur le contexte culturel tunisien pour en faire la démonstration.
En quoi la notion de mystique comme position d’excès viendrait, sous son acception de l’ex-stase, éclairer celle de jouissance ? Ou comment l’amour mystique, induisant une perte des limites du moi, une exaltation narcissique, situerait le sujet au-delà du symbolique, dans une jouissance extrême, autre que phallique, qui permet alors d’en saisir toute la quintessence ? Explications.
Avec, entre autres, les contributions de M. Drulhe et al., P. Bouyssières, F. Sicard, J. Baubérot, C. Mercadier, J.-M. Ducomte, J. Sanchez, A. Benarfa.