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Les psys causent à la télé
« Cette recherche a été accomplie dans le cadre d’un dea d’analyse du discours médiatique et a été l’occasion pour Djamel Abssi-Bazilier de prolonger de façon universitaire un investissement de plusieurs années sur les questions de psychanalyse. Ce travail a été apprécié très favorablement par le jury de dea et je suis fort heureuse qu’il donne lieu aujourd’hui à une publication dans une revue de psychologie. »
La réforme LMD en psychologie à l’université Paris X-Nanterre. Sa mise en œuvre en psychopathologie et psychologie clinique
Depuis la création d’une université à Nanterre, il y a plus de quarante ans, et l’ouverture de son département de psychologie, sous l’impulsion de Didier Anzieu bientôt rejoint par Robert Francès, Jean Maisonneuve et René Zazzo notamment, les étudiants ont trouvé une formation en psychologie leur permettant de se confronter aux différents paradigmes et de se préparer aux différents secteurs des pratiques de la psychologie.
Débuter en profession, temps privilégié pour continuer à se former (1)
Le passage de la vie estudiantine à la vie professionnelle se révèle parfois être une crise identitaire complexe, non sans lien avec le processus de l’adolescence. Comment le jeune psychologue investit-il son nouveau statut ? Comment vit-il ce qui peut être ressenti comme un isolement ? La création d’un stage postdiplôme peut jouer un rôle important dans l’élaboration de ce passage et favoriser la construction identitaire des jeunes psychologues.
Les métamorphoses des échelles de Wechsler
La parution de la quatrième édition de l’échelle d’intelligence de Wechsler pour enfants (WISC-IV) est l’occasion de faire le point sur l’évolution de ces mesures classiques de l’intelligence. En plus d’un demi-siècle d’existence, comment les échelles de Wechsler se sont-elles transformées ? Quelle influence ont eue sur elles l’étude scientifique de l’intelligence et les nouveaux modèles de la cognition ? Partant des fondements des échelles de Wechsler, il est possible de retracer leurs lentes métamorphoses et d’analyser leur impact sur les pratiques de l’évaluation.
Examen psychologique : tout change, rien ne change ?
Le rappel de l’évolution de l’examen psychologique de l’enfant au cours des dernières décennies est salutaire. Rappel qui incite à présenter les points positifs qui lui ont fait acquérir ses lettres de noblesse, ainsi que les points d’achoppement qui freinent encore aujourd’hui sa pratique maîtrisée. Ce détour nous invite à une réflexion responsable sur la question.
Gare au QI ! Des psychologues s’interrogent sur le QI et certains de ses usages. Une contribution à la réflexion
L’actualité, avec un colloque international début octobre consacré à l’intelligence de l’enfant et les questions pressantes adressées aux psychologues, nous offre l’occasion d’appeler nos collègues, et tous ceux qui sont concernés par l’éducation et la santé de l’enfant, à réfléchir et débattre sur les usages du quotient intellectuel (QI) et certaines dérives actuelles.
Prescription médicale de la contention : spécificité aux personnes âgées
Si la contention se veut protectrice sans être aliénante, comment cette mesure peut-elle être mise en place auprès de personnes âgées ? Comment est-elle perçue par celles et ceux qu’elle concerne ? élaborer une définition singulière de la contention médicalement prescrite aux personnes âgées permettrait sans doute d’envisager une culture de soins novatrice.
La psychologie : une discipline éclatée
La question de fond, reformulée cinquante ans après G. Canguilhem, à savoir « Qu’est-ce que la psychologie ? », peut-elle encore être posée ? L’éclatement définitif et polymorphe de la discipline peut-il être entériné et signaler une disparition proche ? Une disparition de la psychologie dans ses trois axes – pratique, recherche, enseignement – peut se concevoir, dès lors que des fractures irréductibles ont pour conséquence la désagrégation et l’incohérence.
Souffrance des familles : de l’accueil de l’urgence à la prise en charge de la crise
La tendance est d’inscrire le travail de la police dans la répression et le maintien de l’ordre. En intervenant au sein du commissariat de police, le projet Ismène privilégie la prévention de la recrudescence de la violence et de la souffrance des familles. Peut-on aller encore plus loin et imaginer des dispositifs où policiers, psychologues et familles pourraient se rencontrer et donner du sens à ces phénomènes qui les poussent à travailler ensemble ?